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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit

Ça a flambé à Jiyeh
In the name of love, comme le chantent Bono et The Edge...
Anthony Tarazi (fils de Robert et Sandra) et Laura Hélou (fille d'Henri et de Marianne) ont célébré leur mariage au cours d'un gigadîner à la villa Boustany, à Jiyeh, embarquant leurs invités dans une extravagante atmosphère, mi-Burning man, mi-bobo, signe de fabrique de Stree, qui a tout organisé. Neuf cents convives, dont plus de la moitié étaient des jeunes, ont défilé au milieu d'une explosion de fleurs en tout genre, de dreamcatchers en crochet et dentelle se balançant à des fils de lumière, des lounges parés d'imprimés bohémiens, des guirlandes lumineuses, des fleurs géantes aux couleurs mouvantes, des barils de feu semés sur la plage sablonneuse et des ballons lâchés dans le ciel, suspendus entre ciel et terre. Toute l'artillerie y était pour faire la fête: les barmen (au top) de Butler's Bottle, offrant de petites extases ; les buffets aux saveurs de la Mie Dorée, le MusicHall et son tourbillon d'artistes déployant tous leurs talent, avant que la nuit ne soit rythmée par les platines de Ziad Ghosn (du B018) et de Câline Chidiac et Leila Sarkis (DJette), emportant sur une piste de danse des plus déjantées Makram et Youmna Zard, Mayssa Fayad, Monica Khoueiry, Fabienne Weisegger, Anita Karam, Karine Yared, Marc Adwan, Sami Khoueiry, Jessica Khoueiry, Anthony Khoury, Stéphanie Khoury, Ramzi Bazerji, David Abou Jaoudé, Lara Salman, Georges Mouawad, Sylvio Chiha, Dalia Joumblatt et Jasmine Busson, sans oublier les sœurs et frères du nouveau couple, Katarina et Alexander Tarazi, Alexandra et Pierre Hélou, et leur cousin Michel Hélou... À l'aube, l'ambiance était à son sommet et certains ont même eu envie de piquer une tête dans l'eau.
Laura, solaire et ultraglamour dans une robe Élie Saab, et le bel et fougueux Anthony ont tout simplement fait sensation. Beaucoup d'invités n'ont aperçu le couple que de loin, signe qu'il y avait un monde fou. Au premier rang, les deux grand-mères ravies, Madeleine Hélou et Maud Tarazi, mais aussi Isabelle et Philippe Hélou, Claude Khoury, Maha et Peter Tarazi, Juliana et Micky Tarazi. Sans oublier Gladys et Atef Majdalani, Nada et Ramzi Akkari, Grace et Gaby Sehnaoui, Mona Chalhoub, Liliane et Fady Abboud, Joan et Roger Dib, Carole et Nabil Bustros, Mary et Roderick Cochrane, Lina et Imad Fathallah, Sylvie Saliba et son époux Élias Geahchan, Maroun Hélou et Hala Mitri, Marina et l'ex-ambassadeur US à Bahreïn Adam Ereli venus de Washington, Gaby Debbané, Bob Wehbé, Zeina et Imad el Khalil, Christiane et Georges Tawil, Elga et Habib Trad.
C'était une grande et belle fête, et des instants d'insouciance arrachés au temps. Il n'en demeure pas moins qu'il faisait si chaud et si humide que ces messieurs ont dénoué leur cravate et fait tomber leur veste. Quant aux dames, elles ont déployé leur éventail, offrant un tableau qui aurait enchanté aussi bien Renoir que Klimt.
Une pléiade de politiciens ont assisté à la bénédiction nuptiale. Entouré de son bloc parlementaire, Walid Joumblatt (avec Nora, Taymour, Aslane et Dalia) a sans doute pensé que le I do de Laura et d'Anthony aurait pu être prononcé dans les jardins du palais de Baabda. Présents à l'église également, le vice-président de l'Assemblée Farid Makari, les députés Fouad el-Saad et Abdel Latif Zein, les ministres Boutros Harb et Michel Pharaon, Myrna Boustany, Fouad el-Khazen, Rose Choueiry et Abla Lahoud.
Le dîner a réuni Marwan Hamadé (avec Vanda), Élias Murr, Nayla Moawad, Viviane et Robert Ghanem, Hélène et Carlos Eddé, Janine et Antoine Maamari, Diane et Christian Mecattaf, Pierre Doumet, Robert Debbas, Raymond Abou Adal, Mona Pharaon, Tonia et Zafer Chaoui, Nancy et Ghassan Assaf, Marc Audi, Laura Lahoud, Danièle de Picciotto, Isabelle et Camille Eddé, Hania et Marwan Abou Fadel, Maya et Christian Ibrahimcha, Bassam et Leilita Diab, Mimi et Habib Attieh, Danièle et Selim Saad, Alice et Roger Eddé, Denise et Jean-Lou Eddé, Micha et Nicolas Gharzouzi, Lena et Hadi Nahas, Monique et Billy Karam, Roula et Élie Farah, Amale et Jean Bustros. Les invités étaient si nombreux qu'il est impossible de tous les citer !

Beyrouth ou Ibiza, peu importe...
La tentation d'Ibiza était très forte, irrépressible presque, et pourtant c'est au Liban, au palais Msar, un écrin architectural du XIXe siècle planté à Ghazir, que Pierre et Karine Yared ont réuni leurs amis pour célébrer leur mariage. Est-ce un acte de foi ? La conviction que le pays et l'avenir leur appartiennent ? Des trentenaires de tous pays ont répondu présent à l'appel. Elle est belle, cette jeunesse qui se construit ici ou là, mais qui ne rate pas une occasion de revenir au Liban pour faire la fête dans un chahut splendide.
Deux témoins. Pour la bellissime Karine, sa sœur, Lara Zard Aboujaoudé, fiancée avec Karim Houri. Et pour Pierre, son cousin, Charly Baz, jeune premier, au bras de Angie Succar. Maria Yared, la sœur de Pierre, aussi ravissante que touchante, a eu les mots pour émouvoir l'assistance lors de la bénédiction.
Un mariage tout en élégance, exubérance et simplicité. Un mariage dont le thème était... la débauche de bonne humeur et les décibels survoltés des tubes déversés par le DJ. Ibiza ou Beyrouth, peu importe, quand l'amour triomphe.

La Kimabaya au musée...
Pour « raconter une histoire de cet Orient de rêve et de sensualité, un Orient de paix », dixit Rabih Kayrouz, 20 Kimabayas de la styliste Milia Maroun s'installent du 5 juillet au 4 septembre au musée de l'Institut du monde arabe, à Paris. Fusion entre le kimono traditionnel et la abaya, ce vêtement s'était affiché pour la première fois au restaurant Liza, 14 rue de la Banque à Paris, durant la semaine de la mode en mars dernier. Sa version urbaine est réalisée dans les tissus d'imprimés anciens et de motifs contemporains de la maison Bokja, créée par Hoda Baroudi et Maria Hibri. Sa version ethnique décline une sélection de tissus antiques du Nigeria, du Portugal et du Magreb, issus de la collection de Jennifer Shorto. Pour Éric Delpont, chef du département musées à l'IMA, le propos de cette exposition est de « montrer qu'il n'existe pas de hiatus entre le passé et le présent, et comment la création d'aujourd'hui (...) est tributaire des différents héritages sur lesquels le monde arabe s'est construit ».
Pour son entrée au musée, une Kimabaya inédite se fera végétale, devenant « un véritable manteau-jardin vivant ».

ditavonbliss@hotmail.com

Ça a flambé à JiyehIn the name of love, comme le chantent Bono et The Edge...Anthony Tarazi (fils de Robert et Sandra) et Laura Hélou (fille d'Henri et de Marianne) ont célébré leur mariage au cours d'un gigadîner à la villa Boustany, à Jiyeh, embarquant leurs invités dans une extravagante atmosphère, mi-Burning man, mi-bobo, signe de fabrique de Stree, qui a tout organisé. Neuf...
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