Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), créé pour juger l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri dans un attentat à Beyrouth en 2005, a annoncé hier dans un communiqué qu'il ne peut s'exprimer « sur la mort du commandant militaire du Hezbollah », Moustapha Badreddine, annoncée vendredi par le Hezbollah, avant qu'une décision de justice ne soit prononcée.
Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), créé pour juger l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri dans un attentat à Beyrouth en 2005, a annoncé hier dans un communiqué qu'il ne peut s'exprimer « sur la mort du commandant militaire du Hezbollah », Moustapha Badreddine, annoncée vendredi par le Hezbollah, avant qu'une décision de justice ne soit prononcée.
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