L'opposition syrienne a déclaré vendredi à Genève qu'elle était prête à former un gouvernement de transition avec des diplomates et des technocrates du régime de Damas, mais pas avec ceux "qui ont commis des crimes".
"Nous ne pouvons pas accepter la participation dans le (futur) organe de transition de responsables qui ont commis des crimes contre le peuple syrien", a déclaré à l'AFP Salem al-Meslet, porte-parole du Haut comité des négociations (HCN), qui regroupe les principales factions opposées à Damas. "Mais il y a beaucoup de diplomates et de technocrates (...) et des personnalités indépendantes en Syrie" qui peuvent en faire partie, a-t-il ajouté.
"Nous ne pouvons pas accepter la participation dans le (futur) organe de transition de responsables qui ont commis des crimes contre le peuple syrien", a déclaré à l'AFP...
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