Le bloc parlementaire du changement et de la réforme, présidé par Michel Aoun, a estimé mardi que le Liban souffrait de crises chroniques de scandales, pour lesquels personne n'est tenu responsable.
"Nous vivons dans un pays où les scandales sont monnaie courante et pour lesquels personne n'est tenu responsable", a déclaré l'ancien ministre Salim Jreissati, à l'issue de la réunion hebdomadaire du bloc parlementaire. "Nous continuerons à agir jusqu'à ce que ceux qui gaspillent l'argent de ce pays soient démasqués", a-t-il ajouté.
"Nous vivons dans un pays où les scandales sont monnaie courante et pour lesquels personne n'est tenu responsable", a déclaré l'ancien ministre Salim Jreissati, à l'issue de la réunion...
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