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Dernières Infos - Liban

Entendu lors de la manif contre la crise des déchets : "Si nous n'agissons pas, nous sommes complices"

Parmi les manifestants rassemblés place Sassine, à Beyrouth, pour dénoncer la crise des déchets qui sévit au Liban depuis le 17 juillet dernier, Lina Akiki, une ingénieure de 31 ans venant du Keserwan : "Je suis là parce que nous vivons dans des conditions qui n'existent dans aucun autre pays : les déchets, la pollution, la corruption! Nous ne pouvons plus vivre de cette manière et si nous n'agissions pas, nous serions complices. Nous devons parler, bouger parce que la pression que nous exerçons peut avoir une influence. Si nous nous taisons nous sommes complices!"

 

Des centaines de manifestants étaient rassemblés place Sassine, à Beyrouth, vers 16h, pour une manifestation à laquelle ont appelé plusieurs collectifs de la société civile, nés de la crise des déchets. Cette manifestation, qui doit se diriger vers la place Riad Solh, au centre-ville de la capitale, vise à dénoncer l'incurie des autorités face à la crise des déchets qui sévit depuis le 17 juillet dernier au Liban.

Les activistes des mouvements "Vous puez!" et "Nous réclamons des comptes" manifesteront aux côtés de militants du parti Kataëb, qui a décidé de se joindre au rassemblement.

Parmi les manifestants rassemblés place Sassine, à Beyrouth, pour dénoncer la crise des déchets qui sévit au Liban depuis le 17 juillet dernier, Lina Akiki, une ingénieure de 31 ans venant du Keserwan : "Je suis là parce que nous vivons dans des conditions qui n'existent dans aucun autre pays : les déchets, la pollution, la corruption! Nous ne pouvons plus vivre de cette manière et si...