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Liban

... et 26e commémoration de l’assassinat de René Moawad sur les lieux de l’attentat

Nayla et Michel Moawad, à la tête d’une délégation de la famille, sur les lieux de l’attentat, en présence de Sejaan Azzi. (Photo Ani)

Pour la 26e commémoration de l'assassinat de l'ancien président de la République René Moawad, tué dans un attentat à la voiture piégée le 22 novembre 1989, une cérémonie a été organisée dimanche à Zarif, à Beyrouth, sur les lieux de l'attentat, en présence de l'ancienne ministre et députée Nayla Moawad, de son fils, le chef du Mouvement de l'indépendance, Michel Moawad, et d'autres membres de la famille. Étaient également présents le ministre du Travail, Sejaan Azzi, qui a déposé une couronne de fleurs sur la plaque commémorative installée sur les lieux, ainsi que le député Robert Ghanem et l'ancien député Mohammad Youssef Beydoun.
Dans un entretien à l'Agence nationale d'information (Ani, officielle), Mme Moawad a rendu hommage à la mémoire de son mari assassiné, exprimant cependant sa tristesse face à l'état dans lequel se trouve le pays, notamment la carence dans les institutions, la souveraineté et le patriotisme.
« Tant qu'il y a des armes au Liban plus fortes que celles de l'État, il n'y aura pas de prestige pour l'indépendance. Si la décision de guerre est entre les mains d'autres que les forces fortes de sécurité, l'armée libanaise en tête, de quel État et de quelle indépendance peut-on vraiment parler ? » a souligné l'ancienne ministre, estimant que les citoyens feront preuve de résilience face à cette dislocation institutionnelle.
Michel Moawad a également rendu hommage à la mémoire de son père, « tué alors qu'il défendait l'indépendance ». « Malheureusement, cette indépendance n'est pas encore devenue la fête que voulait René Moawad. Nous avons honte de parler de fête sans État réel et effectif. Un État sans tête est loin d'être souverain, libre, indépendant et démocratique », a-t-il affirmé.

Pour la 26e commémoration de l'assassinat de l'ancien président de la République René Moawad, tué dans un attentat à la voiture piégée le 22 novembre 1989, une cérémonie a été organisée dimanche à Zarif, à Beyrouth, sur les lieux de l'attentat, en présence de l'ancienne ministre et députée Nayla Moawad, de son fils, le chef du Mouvement de l'indépendance, Michel Moawad, et...

commentaires (1)

tres bien d'honorer la mort d'un grand du Liban, mais souvenons nous que cette famille a accuse tout le monde de l'assasinat sauf des syriens....d'ailleurs ils etaient pendant tres longtemps en tres bons termes avec nos voisins...

George Khoury

10 h 01, le 24 novembre 2015

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Commentaires (1)

  • tres bien d'honorer la mort d'un grand du Liban, mais souvenons nous que cette famille a accuse tout le monde de l'assasinat sauf des syriens....d'ailleurs ils etaient pendant tres longtemps en tres bons termes avec nos voisins...

    George Khoury

    10 h 01, le 24 novembre 2015

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