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Liban

Ils ont dit sur l'attentat de Bourj el-Brajneh

*Tammam Salam, Premier ministre: « Nous condamnons cet acte criminel et lâche que rien ne peut justifier. J'espère que cette tragédie pourra servir de motivation à l'ensemble des responsables politiques pour les inciter à dépasser leurs polémiques, et à œuvrer en vue du soutien des institutions et des services de sécurité. »

*Boutros Harb, ministre des Télécommunications : « Je condamne vivement le massacre de personnes innocentes et j'appelle à une position nationale susceptible de blinder le Liban contre les complots. »

* Ramzi Jreige, ministre de l'Information : « Nous devons tirer les leçons de cet acte terroriste et relever le défi dans l'intérêt du Liban et de la sécurité du citoyen. »

*Mohammad Machnouk, ministre de l'Environnement : « Cet acte condamnable devrait inciter l'État, le gouvernement et le peuple à resserrer les rangs pour faire face aux défis et complots de tout genre. »

* Gebran Bassil, ministre des Affaires étrangères : « Il s'agit d'un seul et même terrorisme qui se déplace d'un pays à l'autre, propageant l'esprit de la haine et du rejet de l'autre. L'unité est le seul moyen de faire face à ce fléau. »

*Achraf Rifi, ministre de la Justice : « Je réitère mon rejet catégorique du terrorisme, de la déstabilisation et du massacre des innocents, en espérant qu'en dépit de ce crime odieux, nous réussirons à protéger notre pays de telles attaques qui visent les Libanais, leur sécurité et leur stabilité. »

*Michel Pharaon, ministre du Tourisme : « Nous exprimons notre solidarité avec les habitants de la banlieue sud. Il nous reste à consolider la sécurité et à redynamiser les institutions. L'entente politique interne et externe est devenue une nécessité. »

* Michel Sleiman, ancien chef de l'État : « Le terrorisme a frappé et le sang des martyrs nous interpelle. N'est-il
pas temps de nous unifier ? »

*Saad Hariri, chef du courant du Futur : « Tuer des innocents est un crime odieux au regard de toutes les normes. Rien ne peut justifier un acte aussi ignoble ni atténuer son ampleur. »

* Fouad Siniora, chef du bloc du Futur : « C'est l'ensemble des Libanais qui ont été poignardés dans le dos par ce crime. Ce terrorisme aveugle, qui est revenu frapper le Liban, ne pourra pas ébranler notre unité nationale et notre coexistence. »

*Nagib Mikati, ancien Premier ministre : « Nous condamnons cet attentat terroriste qui a endeuillé la banlieue sud de Beyrouth et appelons les Libanais à un sursaut d'éveil en ces temps difficiles. »

* Mohammad Safadi, député de Tripoli : « Le sang des innocents qui a coulé devrait alerter les Libanais sur l'ampleur des dangers qui les menacent. Ils doivent par conséquent mettre de côté leurs disputes politiques et faire prévaloir la solidarité nationale. »

* Walid Joumblatt, chef du PSP, député du Chouf : « J'appelle les Libanais à resserrer les rangs et à dépasser les disputes et les tiraillements politiques et sectaires pour préserver la scène libanaise et couper court au retour de la série noire des explosions terroristes. »

* Sleiman Frangié, chef des Marada : « Même les condamnations ne servent plus devant le spectacle des martyrs innocents. Que Dieu vienne en aide aux familles des victimes. »

*Michel Aoun, chef du bloc du Changement et de la Réforme, député du Kesrouan : « L'attentat de Bourj el-Brajneh est le crime du désespoir ultime suscité par la défaite. Nous devons combattre avec confiance pour faire prévaloir le bien sur le mal. »

* Le secrétariat général du 14 Mars : « La stabilité au Liban n'est pas une opération uniquement technique qui se fonde sur la capacité des forces en présence à protéger ses régions. Elle est le résultat d'une entente sur la nécessité d'édifier l'État (...) et de se retirer du conflit syrien qui se répercute clairement sur ceux qui s'y sont enlisés. »

*Cheikh Abdellatif Deriane, mufti de la République: « Ce crime qui a visé des personnes innocentes est religieusement prohibé et n'a rien à voir avec l'islam. Ce terrorisme noir doit être combattu par le rejet des dissensions et l'attachement à l'unité entre les musulmans. »

*Tammam Salam, Premier ministre: « Nous condamnons cet acte criminel et lâche que rien ne peut justifier. J'espère que cette tragédie pourra servir de motivation à l'ensemble des responsables politiques pour les inciter à dépasser leurs polémiques, et à œuvrer en vue du soutien des institutions et des services de sécurité. »
*Boutros Harb, ministre des Télécommunications :...

commentaires (4)

que des commentaires! quand t-est-ce qu'ils vont passé à l'action? et que dire de ce peuple qui encaisse toujours... un nouveau gouvernement est la seule unique solution.

Antoine Zaarour

18 h 40, le 13 novembre 2015

Tous les commentaires

Commentaires (4)

  • que des commentaires! quand t-est-ce qu'ils vont passé à l'action? et que dire de ce peuple qui encaisse toujours... un nouveau gouvernement est la seule unique solution.

    Antoine Zaarour

    18 h 40, le 13 novembre 2015

  • Le bésiîîl : "Il s'agit d'un seul et même terrorisme qui se déplace d'un pays à l'autre, propageant l'esprit de la haine et du rejet de l'autre." ! D'un pays à l'autre" ! Il veut dire du Liban vers la Syrie, avec presque cinq à dix mille miliciens du héZébbb "déplacés" en Syrie, sûrement mahééék ?

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    14 h 41, le 13 novembre 2015

  • boSSfééér du Késsérwéééne : "L'attentat de Bourj el-Brajneh est le crime du désespoir ultime suscité par la défaite. Mais nous devons continuer à combattre avec confiance." ! Eh ben ! Ainsi le terrorisme "Takfiriste" est déjà "défait" pour lui ? Mais alors, pourquoi devrait-il continuer à combattre si ce "takfirisme" est déjà "défait" ? En sus, "combattre avec confiance." ! Pourquoi ? L'a-t-il déjà perdu, cette conFiannnce ?

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    14 h 31, le 13 novembre 2015

  • C'est beau...ces phrases pour "faire bien"... Pourtant, toutes ces MARIONNETTES-INCAPABLES sont animées par des ficelles reliées à ceux qui les font bouger selon leurs propres intérêts ! Et...manifestement elles sont incapables de se défaire de cette emprise venant de l'extérieur dans laquelle elles se sont laissé engluer. Où elles n'ont toujours pas compris les leçons du passé ! Et qui paye pour cela ? Le petit peuple, comme toujours ! Irène Saïd

    Irene Said

    11 h 51, le 13 novembre 2015

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