Le Président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a admis mardi de probables "fautes" du pouvoir dans l'attentat qui a coûté la vie à 97 personnes samedi à Ankara.
"Il a dû sans conteste y avoir une faute, une défaillance à un certain moment. De quelle importance ? Ce sera clair après l'enquête", a dit M. Erdogan devant la presse, trois jours après l'attentat le plus meurtrier de l'histoire de la Turquie.
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