Rechercher
Rechercher

Liban

La CGTL inquiète de la « paralysie des institutions »

La CGTL a exprimé (son) inquiétude face à « l'incapacité des forces politiques de reformuler le pouvoir, du fait de la vacance présidentielle, du blocage du Parlement, ou encore de la paralysie du Conseil des ministres, avec toutes les répercutions négatives que cela peut avoir sur les intérêts des citoyens ».
Dans un communiqué publié hier, à l'issue de sa réunion sous la présidence de Ghassan Ghosn, la confédération a souligné son « refus de la privatisation des services publics, notamment l'électricité ». Elle a également insisté sur « l'importance de la réforme politique et administrative, en vue d'édifier un État ». Selon elle, « la réforme débute par le vote d'une loi électorale proportionnelle et d'un système fiscal axé sur l'impôt progressif sur les profits et l'impôt unifié sur les revenus ». Elle a également appelé à « la réforme de la Caisse nationale de Sécurité sociale, en commençant par la mise en place de la loi sur la retraite et la protection sociale ».
La CGTL a déclaré que ses réunions resteront ouvertes pour débattre de ces revendications avec les Unions professionnelles et sectorielles.

La CGTL a exprimé (son) inquiétude face à « l'incapacité des forces politiques de reformuler le pouvoir, du fait de la vacance présidentielle, du blocage du Parlement, ou encore de la paralysie du Conseil des ministres, avec toutes les répercutions négatives que cela peut avoir sur les intérêts des citoyens ».Dans un communiqué publié hier, à l'issue de sa réunion sous...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut