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Liban

Zahra : Le Hezbollah a atteint des sommets d’insolence

Pour le député du parti des Forces libanaises Antoine Zahra, « c'est un honneur pour le 14 Mars d'être accusé d'attachement à la Constitution et de ne pas se plier aux quatre volontés du mandataire de l'Iran au Liban. Aujourd'hui, nous autres qui constituons le 14 Mars sommes accusés par le Hezbollah et ses principaux hauts responsables de paralyser le gouvernement en ne validant pas le compromis ».
« Dès les premiers instants où le gouvernement a été formé, les Forces libanaises ont pressenti que celui-ci ne serait rien d'autre qu'une distribution des parts à ses différentes composantes, et non un gouvernement d'union nationale. À chaque étape, avec beaucoup d'insolence et sans une once d'hésitation, les uns et les autres menacent de démissionner à chaque fois que leurs intérêts se trouvent menacés », dit-il. Et d'ajouter que « toute personne qui estime qu'elle peut tailler cette nation à la dimension de ses intérêts personnels se trompe (...). Nous avons nommément désigné le Hezbollah car son insolence a atteint des sommets. Il accuse les autres de paralysie parce qu'ils refusent de fouler du pied la Constitution et les lois. Parce qu'ils ne veulent pas se soumettre aux compromis de l'état de fait, parce qu'ils refusent d'avoir peur des armes et des victoires illusoires à l'image de celles qu'ils nous ont servies ces dernières années ». Pour Antoine Zahra, « il est grand temps de se rebeller pour défendre notre dignité nationale et notre fier passé (...). Oui, il est temps d'agir dans ce sens, et c'est ce que le parti des Forces libanaises ne cesse de faire en ces temps de paralysie ».
Ces propos de M. Zahra sont intervenus lors d'un dîner organisé par les FL à Douma, dans le caza du Batroun, et au cours duquel il représentait le chef du parti Samir Geagea. Étaient également présents le responsable FL au Batroun Chafic Nehmé, le représentant du courant du Futur Assaad Issa, le président du Centre médical du cèdre Zahi Haibi, ainsi que le président de la municipalité de Douma, Joseph Khairallah, et un parterre de notables et de partisans.

Pour le député du parti des Forces libanaises Antoine Zahra, « c'est un honneur pour le 14 Mars d'être accusé d'attachement à la Constitution et de ne pas se plier aux quatre volontés du mandataire de l'Iran au Liban. Aujourd'hui, nous autres qui constituons le 14 Mars sommes accusés par le Hezbollah et ses principaux hauts responsables de paralyser le gouvernement en ne...

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