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Liban - Dans les coulisses de la diplomatie

« Non à l’intégration des réfugiés », scande Bassil

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a émis des réserves sur le texte d'un avant-projet qui lui a été présenté à New York, concernant la question des réfugiés syriens, qui fera l'objet le 8 octobre d'une conférence organisée par le Conseil de l'Union européenne. Et pour cause, le texte comprend l'expression « intégration des réfugiés dans les pays d'accueil », que le ministre a considérée comme un obstacle à la participation du Liban à la conférence prévue. Car, a dit M. Bassil, « le Liban étant un petit pays, il ne peut intégrer un nombre de réfugiés équivalant au tiers de sa population ». Le ministre des Affaires étrangères a ainsi exigé, lors de sa réunion à New York avec son homologue luxembourgeois, représentant la présidence du Conseil de l'Union européenne, d'annuler le mot « intégration » du texte de l'avant-projet, et le cas échéant l'appliquer aux autres pays à l'exception du Liban. À défaut de quoi, a insisté M. Bassil, le Liban ne participera pas à la conférence du 8 octobre.
Sur un autre plan, mais toujours à New York, le ministre des Affaires étrangères s'est entretenu avec son homologue russe Sergueï Lavrov, qui a insisté sur la nécessité d'élire un président de la République sans intervention étrangère, la vacance présidentielle « n'étant plus admise ». La même teneur des propos a marqué les entretiens du Premier ministre Tammam Salam avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, ainsi qu'avec le roi Abdallah de Jordanie, le Premier ministre suédois, Stephan Lovfen, et le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank Steinmeier.
Par ailleurs, et selon une source haut placée, la délégation libanaise a déploré la non-tenue de la réunion qui était prévue à New York avec le président iranien, Hassan Rohani, pour s'enquérir de la position de Téhéran à l'égard de l'échéance présidentielle. La délégation a également regretté la non-coopération, sur ce point, du président Rohani avec son homologue français, François Hollande. Ce dernier avait d'ailleurs informé dimanche dernier le Premier ministre Tammam Salam qu'il examinera la question de l'élection présidentielle avec Hassan Rohani lors de la visite de celui-ci à Paris, prévue le mois prochain. Il faut savoir que cette visite est l'un des facteurs de l'ajournement de la visite de François Hollande à Beyrouth, que le président français était censé effectuer à la fin du mois de septembre.

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a émis des réserves sur le texte d'un avant-projet qui lui a été présenté à New York, concernant la question des réfugiés syriens, qui fera l'objet le 8 octobre d'une conférence organisée par le Conseil de l'Union européenne. Et pour cause, le texte comprend l'expression « intégration des réfugiés dans les pays d'accueil »,...

commentaires (3)

De son vrai métier, le Boutronais se devait de devenir affidé Per(s)cé. Divers conflits font 1 Malsain, d’1 enfant simplet. Le bääSSyrien le mate, à l'instant où il maltraite le Liban. Et applique de main de maître sur la tête du beauf, some coups qui en imposent. Il s'assure ainsi le respect du béjaune. Plus tard à Boutron, au bouge, se révèle la nature de celui-ci. Il est corrigé ou, pour parler aSSadiot, métamorphosé en "entité morale" bääSSdiote. Son "beau!"-chef le prend alors sous sa protection en vue de sa rééducation guidée par ce même bääSSdiot. Pour débuter, le petit gars de Botron reçoit des leçons de perfidie et de dissimulation. Le bää-bää en fait 1 agent provocateur, 1 mouchard. Il lui conseille "d'avoir l'air", devant le Puissant walïï, d'avoir changé de "principes" ; celui de ne + commettre de méfaits et d'attirer ainsi son monde dans 1 piège tendu par cet (im)puissanté. Le béssîîîl sait qu'on veut abuser de lui pour 1 farce bäässyriaNique. Il proteste alors contre la suggestion de l’aSSadique de jouer l’agent provocateur et le mouchard. Et persuade aisément l’enfant par la "pure" casuistique Per(s)cée fakkihiste, qu'1 mauvais coup n'est + un mauvais coup dès lors qu'on le fait pour de bonnes raisons "morales" bääSSdiotistes. A présent agent provocateur, le Boutronais, en jouant de la chréti(en)ne "fraternité", yîîîh, mena son chréti(e)n oranginé à sa perte ! Ce fut sa 1ère infamie, avant son actuelle contre son "frérot" syrien tout aussi chréti(e)n d’à côté !

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

14 h 34, le 03 octobre 2015

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Commentaires (3)

  • De son vrai métier, le Boutronais se devait de devenir affidé Per(s)cé. Divers conflits font 1 Malsain, d’1 enfant simplet. Le bääSSyrien le mate, à l'instant où il maltraite le Liban. Et applique de main de maître sur la tête du beauf, some coups qui en imposent. Il s'assure ainsi le respect du béjaune. Plus tard à Boutron, au bouge, se révèle la nature de celui-ci. Il est corrigé ou, pour parler aSSadiot, métamorphosé en "entité morale" bääSSdiote. Son "beau!"-chef le prend alors sous sa protection en vue de sa rééducation guidée par ce même bääSSdiot. Pour débuter, le petit gars de Botron reçoit des leçons de perfidie et de dissimulation. Le bää-bää en fait 1 agent provocateur, 1 mouchard. Il lui conseille "d'avoir l'air", devant le Puissant walïï, d'avoir changé de "principes" ; celui de ne + commettre de méfaits et d'attirer ainsi son monde dans 1 piège tendu par cet (im)puissanté. Le béssîîîl sait qu'on veut abuser de lui pour 1 farce bäässyriaNique. Il proteste alors contre la suggestion de l’aSSadique de jouer l’agent provocateur et le mouchard. Et persuade aisément l’enfant par la "pure" casuistique Per(s)cée fakkihiste, qu'1 mauvais coup n'est + un mauvais coup dès lors qu'on le fait pour de bonnes raisons "morales" bääSSdiotistes. A présent agent provocateur, le Boutronais, en jouant de la chréti(en)ne "fraternité", yîîîh, mena son chréti(e)n oranginé à sa perte ! Ce fut sa 1ère infamie, avant son actuelle contre son "frérot" syrien tout aussi chréti(e)n d’à côté !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    14 h 34, le 03 octobre 2015

  • IL ESSAIE DE SE FAIRE UNE PLACE AU SOLEIL...

    LA LIBRE EXPRESSION

    11 h 01, le 03 octobre 2015

  • "Car, a dit le béssîîîl, le Liban étant un petit pays, il ne peut intégrer un nombre de réfugiés équivalant au tiers de sa population." ! Même les réfugiés chrétiens genre syriaques, assyriens, arméniens ou chaldéens ?

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    10 h 22, le 03 octobre 2015

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