Le bloc parlementaire du Courant du Futur a affirmé mardi, dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion hebdomadaire, "n'avoir œuvré, à aucun moment, à la mise à l'écart des partenaires nationaux".
Cette prise de position vient répondre aux accusations du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui avait laissé entendre que la formation de l'ancien Premier ministre Saad Hariri œuvrait à isoler le Courant patriotique libre (CPL) de Michel Aoun.
Par ailleurs, le bloc salue l'arrestation du cheikh salafiste jhadiste Ahmad el-Assir par la Sûreté générale, samedi dernier à l'Aéroport international de Beyrouth. Mais il estime en retour qu'il n'y a "pas de justice si celle-ci n'est pas globale et ne s'étend pas sur tout le territoire du pays".
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