Il faut pour pouvoir rendre compte de la réalité de l'état des rues non seulement décrire et photographier l'amoncellement des ordures, mais pouvoir aussi en faire sentir les odeurs nauséabondes qui se dégagent au moindre souffle de cet air chaud qui caractérise un été à Beyrouth. Et que vivent les vacances ! Venus pour passer quelques semaines en famille, nos expats et les quelques rares touristes étrangers auront vite fait de décamper, et nous autres résidents n'avons qu'à subir les conséquences de notre laisser faire.
Une ONG des ordures, voilà ce qu'il nous faut, une association qui lèverait des fonds pour prévenir d'être noyés dans notre m..., peut-on être à ce point imprévoyant ? Il est demandé à toutes les « jeunes lumières » de ce pays de plancher urgemment sur ce sujet vital et de nous trouver une bouée de sauvetage car les « vieilles branches » qui nous gouvernent n'ont de visions qu'en ce qui concerne... leurs portefeuilles.
Nos Lecteurs ont la Parole - Dolly TALHAMÉ
Jeunesse brillante à la rescousse d’un État pourri
OLJ / le 07 août 2015 à 00h56
Bravo la jeunesse... l'état sera un jour dé-pourrisé (pas mal, hein!? avis aux académiciens de la langue). Regardons la partie pleine du verre, Il vaut mieux que la jeunesse, elle, ne soit pas pourrie.
17 h 54, le 08 août 2015