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Agenda - Hommage à Lena Touma

À Lena, mon amie de toujours

Tu nous as quittés un soir de printemps, après avoir lutté de toutes tes forces pour vaincre cette maudite maladie.
Tu as lutté pendant 15 ans en nous disant toujours que « ce n'est rien, c'est une petite chose. J'ai de la chance, c'est au tout début, et avec un peu de chimio, je serai guérie ».
Tu ne voulais pas abdiquer et te laisser aller au chagrin, à la peur. Tu étais une battante, un vrai soldat !
Tu me disais : « Je n'ai pas le temps d'être malade, j'ai plein de choses à faire. » Le meghlé pour Mark, que tu faisais entre deux séances de chimio. Gabi, que tu as adoré et qui était ta joie de vivre. Et tu me disais, convaincue, qu'il valait mieux que ce soit toi et pas les enfants. Tu as toujours été pendant ces 15 années une leçon de vie et de courage.
Tes éclats de rire résonnent toujours dans mes oreilles, de même que les fous rires que nous avons partagés depuis nos 15 ans, les espiègleries à l'école...
Même durant la guerre, nous partagions nos souvenirs d'adolescentes, toujours avec des éclats de rire.
Tout était drôle, et tu trouvais que tout le monde était gentil, tout le monde était bon, et ceci parce que c'était toi qui étais bonne et merveilleuse.
Lena, repose en paix. Tu peux être fière de ta famille, de Nagi qui était ton ange gardien, de Maria qui est comme toi, le vaillant petit soldat, et de tes fils, Ziad et Joe, qui ont réussi dans la vie et qui ont fondé une merveilleuse famille chacun. Lena, je pourrais écrire des pages, mais je me tais pour t'écouter, pour me souvenir.
Merci Lena pour ton amitié, vraie et indéfectible, depuis que nous nous sommes connues.
Lena, tu resteras pour toujours dans nos cœurs,
Tu me manqueras beaucoup... Hama.

Tu nous as quittés un soir de printemps, après avoir lutté de toutes tes forces pour vaincre cette maudite maladie.Tu as lutté pendant 15 ans en nous disant toujours que « ce n'est rien, c'est une petite chose. J'ai de la chance, c'est au tout début, et avec un peu de chimio, je serai guérie ».Tu ne voulais pas abdiquer et te laisser aller au chagrin, à la peur. Tu étais une battante, un vrai soldat !Tu me disais : « Je n'ai pas le temps d'être malade, j'ai plein de choses à faire. » Le meghlé pour Mark, que tu faisais entre deux séances de chimio. Gabi, que tu as adoré et qui était ta joie de vivre. Et tu me disais, convaincue, qu'il valait mieux que ce soit toi et pas les enfants. Tu as toujours été pendant ces 15 années une leçon de vie et de courage.Tes éclats de rire résonnent toujours dans mes oreilles,...