Leila Solh Hamadé a effectué à Tripoli une journée auprès des patients du Centre médical de la miséricorde.
La présidente de la Fondation humanitaire al-Walid ben Talal, l'ancienne ministre Leila Solh Hamadé, a visité hier le Centre médical de la miséricorde, premier centre pour les personnes aux besoins spécifiques à Tripoli, et dont le service consacré à la paralysie cérébrale va être équipé par la fondation. Ce centre peut en fait accueillir 300 enfants à besoins spécifiques, qu'ils soient atteints de handicaps moteurs ou cérébraux, de paralysies diverses ou du syndrome de Down. Dans son allocution, Omar Ayyache, membre du comité d'administration, a remercié l'ancienne ministre et la fondation pour leur soutien et pour leur partage « qui ne connaissent ni appartenances politiques ni confessionnelles ». Pour sa part, Mme Solh Hamadé a espéré pouvoir continuer à œuvrer pour l'intérêt du pays et des Libanais, en particulier les musulmans qui doivent rester unis. L'ancienne ministre a ensuite rencontré les parents des jeunes patients, assurant que l'équipement du service de paralysie cérébrale sera terminé d'ici à quelques mois.
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