Une jeune ressortissante française et son accompagnatrice yéménite enlevées mardi au Yémen "ne font pas partie de la Banque Mondiale", contrairement à des premières informations diffusées, a affirmé mardi l'institution financière internationale dont le siège est à Washington.
La Banque Mondiale entend "clarifier le fait que la ressortissante française et la ressortissante yéménite (enlevées) ne font pas partie de l'équipe de la Banque Mondiale ni de ses consultants", indique un communiqué.
Les "deux femmes travaillent comme contractuelles pour une société de conseil, elle-même sous contrat du Social Welfare Fund qui développe un projet financé par la Banque Mondiale", ajoute l'institution financière.
"Très préoccupée" par cet enlèvement, la Banque Mondiale "espère leur retour saines et sauves dans leurs familles", conclut l'institution.
Selon une source des services de sécurité yéménites, la jeune Française et son accompagnatrice, qui se trouvaient dans un taxi, ont été enlevées mardi dans le centre de Sanaa par des hommes armés non identifiés. Le président français François Hollande avait exigé devant la presse que la libération de la jeune femme "intervienne dans les meilleurs délais", en précisant que cette femme âgée de 30 ans travaillait pour la Banque mondiale.
La Banque Mondiale entend "clarifier le fait que la ressortissante française et la ressortissante yéménite...
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