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Moyen Orient et Monde

Quand DSK justifie sa « garçonnière » à Paris...

Dominique Strauss-Kahn a justifié hier l'existence d'une « garçonnière » parisienne en invoquant la discrétion nécessaire à sa vie privée et contesté à nouveau les accusations de proxénétisme aggravé, lors de la dernière journée de son témoignage devant un tribunal français. À son troisième jour d'audition devant le tribunal de Lille, l'ancien directeur du FMI a été sommé de s'expliquer sur cet appartement à Paris qu'il n'a pas loué à son nom. L'une des infractions caractérisant le proxénétisme est en effet de tenir des locaux privés à disposition de personnes en sachant qu'elles s'y livreront à la prostitution. Pour l'ancien favori à la présidentielle de 2012, qui risque jusqu'à dix ans de prison, le prête-nom était une question de discrétion pour cet appartement dans un quartier chic de la capitale française où il recevait certes des amis politiques, mais aussi des femmes. Plusieurs soirées « libertines » s'y sont tenues. Un avocat des parties civiles a demandé pourquoi il cachait l'existence de cet appartement. « Parce qu'à l'époque, je suis toujours marié », répond DSK, 65 ans, désormais séparé de la journaliste Anne Sinclair. Deux « escorts » s'y sont rendues, mais les dates sont imprécises. De plus, elles se sont elles-mêmes définies comme libertines et non comme des prostituées.

Dominique Strauss-Kahn a justifié hier l'existence d'une « garçonnière » parisienne en invoquant la discrétion nécessaire à sa vie privée et contesté à nouveau les accusations de proxénétisme aggravé, lors de la dernière journée de son témoignage devant un tribunal français. À son troisième jour d'audition devant le tribunal de Lille, l'ancien directeur du FMI a été sommé...
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