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Liban

Dialogue Aoun-Geagea : pas de date prévue encore

Le secrétaire général du bloc du Changement et de la Réforme, Ibrahim Kanaan, a affirmé hier que même si la date exacte de la rencontre entre Michel Aoun et Samir Geagea n'a pas encore été fixée, « un travail sérieux » se fait sur le rendez-vous, et des progrès là-dessus « sont imminents ».
« Nous sommes en contact régulier avec les Forces libanaises, a dit le parlementaire, et le débat porte non seulement sur la question de la présidentielle, mais aussi sur toute la question de l'exercice du pouvoir politique et d'une participation effective des chrétiens "faute de quoi l'accord de Taëf resterait lettre morte". »
« En ce qui concerne la présidentielle, a repris M. Kanaan, il importe qu'un partenariat sérieux islamo-chrétien s'établisse pour une fois. » Pour le député, il importe que la pratique du pouvoir réponde aux deux conditions suivantes : l'élection d'un président et non sa nomination, et en second lieu la mise au point d'une nouvelle loi électorale. « Sur ce dernier plan au moins, l'intention droite de l'autre camp n'est pas encore établie, puisqu'il s'est retiré de la sous-commission parlementaire chargée d'en connaître », a-t-il dit.
« Il est moins question de chances de tel ou de tel candidat que d'établir un partenariat équitable où les droits des chrétiens seraient respectés, chose qui n'a pas encore lieu depuis l'accord de Taëf » (1989), a conclu le député aouniste.

Le secrétaire général du bloc du Changement et de la Réforme, Ibrahim Kanaan, a affirmé hier que même si la date exacte de la rencontre entre Michel Aoun et Samir Geagea n'a pas encore été fixée, « un travail sérieux » se fait sur le rendez-vous, et des progrès là-dessus « sont imminents ».« Nous sommes en contact régulier avec les Forces libanaises, a dit le...

commentaires (4)

Pathétiques !

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

13 h 50, le 23 décembre 2014

Tous les commentaires

Commentaires (4)

  • Pathétiques !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    13 h 50, le 23 décembre 2014

  • Le camp de la résistance du Phare Aoun n' a pas encore sifflé le néosalafiste de candidat geagix ,pour une rencontre ! mais qu'est ce qu'ils ont à accourir ces 14 évanescent pour des rencontres subites et mal préparées ?? allez y molo les gars, vos rivaux, eux , ils bossent ! attendez gentiment qu'on vous dise ce qu'il adviendra de vous , comme c'est le cas de tous ceux qui ont fait fausse route depuis le début ! non mais....

    FRIK-A-FRAK

    12 h 41, le 23 décembre 2014

  • CES DEUX-LÀ SONT DES BOUZOUKS PROGRAMMÉS... LEURS MAÎTRES DÉCIDENT ET JOUENT ET EUX RÉPANDENT LA MUSIQUE ! RAISON A LE POÈTE QUI DIT : JE NE PRÉFÈRE NI L'UN NI L'AUTRE; JE TE LE JURE. LE PREMIER EST SANS PARFUM. LE SECOND EST UN PARJURE.

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 52, le 23 décembre 2014

  • Le boSSfaïr à Rien se change en "ange" ! Il va de par ce Kottor séparer les justes des méchants. L’idée du bien et du mal s'est à tel point incrustée dans sa cervelle qu'il croit à l'existence d’1 "Satan sunnite, et veut capturer ce diable tout vif ! Si, dans la réalité, les différences se confondent de + en + dans le gouffre entre le pauvre et le riche, dans l'idée, les distinctions honorifiques se résolvent dans l'opposition du bien et du mal. Il se considère comme bien, et les méchants lui permettent de jouir de son excellence. Le boSSfaïr pratique 1 prodigalité en Führe(u)r à la Tânioss Chéhîne. Il ne peut mener cette vie sans pomper, tel 1 sangsue, les ressources de sa conTrée. Il figurerait parmi les exilés médiatisés si la protection d'1 l’hassine ne l'avait sauvé d’une 2ème fuite forcée. Ceci permet d'évaluer les mesures de son Can(r)ton orangé. Avec quel esprit critique le sous-caporal se juge, on le mesure au fait qu’il croit devoir garder 1 incognito pour ne pas faire sensation. Il se fait guider d'1 fakkîhdiot, à cette seule fin qu’il lui représente le côté théâtral du pouvoir ; comme si, en dehors de lui et de son miroir, il avait besoin d'une 3ème figure de ce côté puéril. Il a su inculquer aux oranginés Per(s)cés cette méconnaissance critique d'eux-mêmes. Ainsi, le valet bigaradier ne s'aperçoit pas que le Hakîm Samîr les persifle en ayant l'air de croire que leurs "affaires" sont des affaires d'État, quand il jacte sur eux de son ton Fort si sarcastique.

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    02 h 05, le 23 décembre 2014

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