La Chine, seul pays où les organes des condamnés à mort sont systématiquement prélevés après leur exécution pour être transplantés, mettra fin le 1er janvier à cette pratique controversée, rapporte le China Daily. A partir de cette date, les transplantations s'effectueront sur la base des dons, précise-t-il.
Environ 300.000 demandes de transplantation sont enregistrées chaque année en Chine, mais seulement une sur trente est effectivement pratiquée. Cette pénurie, due notamment à la croyance que le corps des défunts doit être incinéré intact, alimente un trafic illégal.
En 2007, les dons de personnes vivantes ont été interdits, sauf lorsqu'il s'agit de l'épouse du patient ou d'un membre de sa famille.
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