Les familles des militaires libanais, retenus en otages depuis début août par les islamistes du Front al-Nosra et du groupe État islamique (EI), ont brûlé des pneus lundi place Riad el-Solh dans le centre de Beyrouth, pour réclamer la libération de leurs proches.
Trois otages ont déjà été assassinés par les ravisseurs, dont deux par décapitation.
Les familles des militaires libanais, retenus en otages depuis début août par les islamistes du Front al-Nosra et du groupe État islamique (EI), ont brûlé des pneus lundi place Riad el-Solh dans le centre de Beyrouth, pour réclamer la libération de leurs proches.
Trois otages ont déjà été assassinés par les ravisseurs, dont deux par décapitation.
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