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Moyen Orient et Monde

« Si le Burkina l’a fait, pourquoi pas nous ? »

Le départ hier du président burkinabé Blaise Compaore, sous la pression de la rue, a déchaîné les passions sur les réseaux sociaux en Afrique, où des citoyens de nombreux pays se demandent : « S'ils ont pu le faire, pourquoi pas nous ? » De Harare au Zimbabwe à Banjul en Gambie, les images des foules du Burkina Faso déferlant pour chasser le vieux dirigeant du pouvoir ont inspiré certains, qui n'ont pas oublié que le printemps arabe a pris son élan sur les réseaux sociaux. Les chefs d'État d'Angola (Dos Santos – depuis 1979), de Guinée équatoriale (Obiang – 1979), d'Ouganda (Museveni – 1986,) du Soudan (al-Bachir – 1989), du Zimbabwe (Mugabe – 1980) et d'autres qui tiennent les rênes de leur pays depuis plusieurs décennies ont été directement visés, même si le rêve d'un « printemps africain » ne convainc pas les plus rationnels...

Le départ hier du président burkinabé Blaise Compaore, sous la pression de la rue, a déchaîné les passions sur les réseaux sociaux en Afrique, où des citoyens de nombreux pays se demandent : « S'ils ont pu le faire, pourquoi pas nous ? » De Harare au Zimbabwe à Banjul en Gambie, les images des foules du Burkina Faso déferlant pour chasser le vieux dirigeant du pouvoir...

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