Manuel Valls a estimé mercredi que le dirigeant syrien Bachar el-Assad "ne (pouvait) absolument pas être un partenaire dans la lutte" contre l'organisation Etat islamique.
"Nous avons fait le choix de nous concentrer sur l'Irak et de continuer à soutenir l'opposition modérée au régime de Bachar el-Assad (...) Nous sommes résolus, avec nos partenaires, à leur apporter un soutien civil et militaire accru", a déclaré le Premier ministre, lors du débat à l'Assemblée nationale sur l'intervention française en Irak.
Manuel Valls a estimé mercredi que le dirigeant syrien Bachar el-Assad "ne (pouvait) absolument pas être un partenaire dans la lutte" contre l'organisation Etat islamique.
"Nous avons fait le choix de nous concentrer sur l'Irak et de continuer à soutenir l'opposition modérée au régime de Bachar el-Assad (...) Nous sommes résolus, avec nos partenaires, à leur apporter un soutien civil et militaire accru", a déclaré le Premier ministre, lors du débat à l'Assemblée nationale sur l'intervention française en Irak.