La Russie apportera « une contribution » à l'engagement militaire international contre les jihadistes de l'État islamiste (EI), a annoncé hier le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, « mais nous allons le faire avec un objectif plus large : la préparation d'une analyse en profondeur de cette situation ». Cette « contribution » sera destinée à soutenir le gouvernement irakien, « afin de nous assurer qu'ils sont en mesure de combattre les terroristes, pour assurer la sécurité de l'État », a-t-il précisé. « La menace terroriste est bien trop grave pour que des considérations idéologiques compromettent la réponse que nous y apportons », a-t-il conclu.
La Russie apportera « une contribution » à l'engagement militaire international contre les jihadistes de l'État islamiste (EI), a annoncé hier le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, « mais nous allons le faire avec un objectif plus large : la préparation d'une analyse en profondeur de cette situation ». Cette « contribution » sera destinée à soutenir le...
Nominations, réformes, justice, cessez-le-feu... Quel avenir pour le Liban ?
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ET... BAGDAD POURRAIT-ELLE VOLER AU SECOURS DE MOSCOU... EN UKRAINE ?
LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EST EN DANGER.
09 h 46, le 17 septembre 2014
OUI C'EST C'LA, UN AVEUGLE NAIN PRÊTANT LA MAIN A UN PARALYTIQUE UNIJAMBISTE !
ANTOINE-SERGE KARAMAOUN
16 h 06, le 16 septembre 2014
Et maintenant la linguistique. Obama « n’hésitera pas à prendre des mesures contre l’ISIS en Syrie ». Mais cela veut dire qu’il va « vaincre » les ennemis du président syrien, Bachar al-Assad, que Obama allait aussi « vaincre » l’année dernière. Donc, si l’ennemi de mon ennemi est mon ami - comme il semblerait que les Arabes disent les uns des autres - Assad peut considérer Washington comme son nouvel allié.
Mais non. Car maintenant arrivent les petites explications douteuses : l’Amérique « ne peut pas compter sur le régime Assad qui terrorise son peuple », un régime qui « ne retrouvera jamais la légitimité qu’il a perdue ». Mais personne n’a jamais demandé aux États-Unis de « compter » sur Assad - c’est Assad qui compte sur le soutien de la Russie. Et la légitimité d’Assad est acceptée par la Chine, l’Iran - avec lequel les Américains sont en pourparlers tranquilles sur le nucléaire - et la Russie, dont les armées n’ont manifestement pas « hésité à prendre des mesures » en Ukraine.Voici donc un joli tableau. Et une partie du problème est l’inexistante mémoire de l’Amérique, à un niveau institutionnel. Obama nous dit que l’Amérique « va traquer les terroristes qui menacent notre pays ». Mais je me souviens du vice-président George Bush disant à ses concitoyens après l’attaque à la bombe contre les troupes US à Beyrouth en 1983, que « nous n’allons pas laisser une bande de lâches terroristes bouleverser la politique étrangère des États-Unis ». Et ils se sont taillés !
ET... BAGDAD POURRAIT-ELLE VOLER AU SECOURS DE MOSCOU... EN UKRAINE ?
09 h 46, le 17 septembre 2014