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Liban

Ils ont dit...

 Fouad Siniora, chef du bloc du Futur, dans des propos aux journaux al-Anba' (du Koweït) et al-Hayat : « Le compromis que propose le 14 Mars porte sur tous les sujets, des armes du Hezbollah à la relation avec la Syrie, la priorité devant cependant aller à l'élection d'un président de la République. Il n'est absolument pas question de noms de présidentiables dans le compromis, ni de Jean Kahwagi ni de Jean Obeid. Le 14 Mars entendra les avis de toutes les parties, sans exception, au sujet du candidat capable d'emporter la majorité des voix et sera à ses côtés. »

 

 Georges Adwan, vice-président des Forces libanaises et député du Chouf, à la MTV : « L'initiative du 14 Mars ne s'arrêtera pas. Elle a pour objectif de parvenir à un stade où chaque partie serait amenée à exprimer sa position en toute clarté et à assumer ses responsabilités eu égard à la persistance de l'impasse au sujet de la présidentielle. Nous voulons une réponse claire de Nabih Berry et de Walid Joumblatt à cette question : êtes-vous oui ou non d'accord avec nous sur la nécessité d'un compromis ? »

 

 Farid el-Khazen, député du Kesrouan et membre du bloc du Changement et de la Réforme, à l'agence al-Markaziya : « L'initiative du 14 Mars n'est pas sérieuse. Elle n'est qu'une prise de position, car toute initiative effective ne pourrait pas être lancée par la voie des médias (...) Le CPL, pour sa part, avait lancé il y a quelque temps une initiative courageuse, sérieuse et démocratique et personne ne l'a commentée. »

 

 Ammar Houry, député de Beyrouth (bloc du Futur) à l'agence al-Markaziya : « Le bloc du Changement et de la Réforme ne s'est pas fendu d'un examen approfondi de l'initiative du 14 Mars. Les composantes de l'alliance vont former une délégation pour entreprendre des contacts avec les divers blocs parlementaires et leur exposer les détails de l'initiative. Mais cette délégation n'a pas pour mission de discuter d'une liste de présidentiables. Lorsque nous aurons le sentiment que les blocs parlementaires se montrent coopératifs, nous passerons alors à la phase des noms. »

 

 Yassine Jaber, député de Nabatiyeh et membre du bloc du Développement et de la Libération (de Nabih Berry), à la Voix du Liban 100,5 : « Pour que l'initiative du 14 Mars réussisse, il faut qu'elle occasionne une brèche fondamentale auprès du général Michel Aoun. J'espère que les contacts qui suivront seront couronnés de succès, car il n'y a rien de nouveau dans l'initiative, comme il a été rapporté de M. Berry. Le seul point nouveau, c'est l'intention de former une délégation pour entreprendre des contacts. Pour assurer le succès de l'échéance présidentielle, il faut une percée entre les deux courants essentiels : le CPL et le Futur. »

 

 Élie Marouni, député Kataëb de Zahlé, à la Markaziya : « Le chef des Kataëb, Amine Gemayel, ne veut pas annoncer officiellement sa candidature à la présidence de la République en attendant que les circonstances mûrissent de telle sorte que cette candidature puisse être efficace. L'initiative claire du 14 Mars stipule que les composantes de l'alliance restent attachées à Samir Geagea, mais ouvrent en même temps la voie à la négociation autour de noms alternatifs pouvant revêtir un caractère consensuel. En tête de ces noms figure celui du président Amine Gemayel. »

 

 Mohammad Hajjar, député du Chouf (bloc du Futur) à la chaîne du Futur : « L'absence de la tête de l'État est la raison des inquiétudes que ressent aujourd'hui tout citoyen libanais (...) Nous voulons un président fort qui soit capable de rassembler les Libanais et de trouver les dénominateurs communs entre eux. Il doit incarner l'engagement à l'égard de l'accord de Taëf et de la déclaration de Baabda. Le chef des Kataëb, le président Amine Gemayel, est au cœur du 14 Mars et nous n'avons pas d'inconvénient à ce qu'il accède à la présidence. »

 Fouad Siniora, chef du bloc du Futur, dans des propos aux journaux al-Anba' (du Koweït) et al-Hayat : « Le compromis que propose le 14 Mars porte sur tous les sujets, des armes du Hezbollah à la relation avec la Syrie, la priorité devant cependant aller à l'élection d'un président de la République. Il n'est absolument pas question de noms de présidentiables dans le compromis, ni de...
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