Des Libanais ont poursuivi leurs manifestations vendredi au Akkar (Liban-nord) afin d'exprimer leur solidarité avec l'armée, et réclamer la libération des soldats et membres des Forces de sécurité intérieure (FSI) retenus par les jihadistes syriens, rapporte l'Agence nationale d'information (Ani, officielle).
Photo Ani.
Lors des combats qui ont opposé l'armée libanaise aux jihadistes sunnites syriens ultra-radicaux à Ersal (Békaa) du 2 au 6 août, plusieurs soldats et membres des FSI avaient été pris en otage. Malgré la libération de plusieurs d'entre eux, le sort des autres demeure incertain. Des rumeurs sur une possible décapitation d'un des soldats libanais circulaient depuis jeudi. Les autorités enquêtent sur l'affaire, a précisé vendredi le ministre de l'Intérieur Nouhad Machnouk.
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Dans un contexte de regain de violences après des combats entre la troupe et les jihadistes, mercredi et jeudi, les habitants ont bloqué un certain nombre de routes du Akkar, et ce à plusieurs niveaux, précise l'Ani. Des parents de soldats ou gendarmes retenus par les jihadistes étaient présents parmi les manifestants. Ils ont appelé les autorités à agir rapidement afin de sauver leurs proches.
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Lors des combats qui ont opposé l'armée libanaise aux jihadistes sunnites syriens ultra-radicaux à Ersal (Békaa) du 2 au 6 août, plusieurs soldats et membres des FSI avaient été pris en otage. Malgré la libération de plusieurs d'entre eux, le sort des autres demeure incertain. Des rumeurs sur une possible décapitation d'un des soldats libanais circulaient depuis jeudi. Les autorités enquêtent sur l'affaire, a précisé vendredi le ministre de l'Intérieur Nouhad Machnouk.
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