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Culture

Hommage à Basile Antoine Meguerdiche

Sur la page d'accueil de l'application du Musée national de Beyrouth apparaît un nom, Basile, un garçon parti trop tôt. Lors du lancement, son père a lu ces quelques lignes de Victor Hugo, qui guident son deuil, et celui de sa femme Samia.
« Le prodige de ce grand départ céleste qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde des ténèbres. Ils sont en haut et tout près. Oh ! Qui que vous soyez, qui avez vu s'évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui.
Il est toujours là.
Il est à côté de vous plus que jamais.
La beauté de la mort, c'est la présence.
Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes.
L'être pleuré est disparu, non parti.
Nous n'apercevons plus son doux visage ; nous nous sentons sous ses ailes. Les morts sont les invisibles mais ne sont pas les absents. »

Sur la page d'accueil de l'application du Musée national de Beyrouth apparaît un nom, Basile, un garçon parti trop tôt. Lors du lancement, son père a lu ces quelques lignes de Victor Hugo, qui guident son deuil, et celui de sa femme Samia.« Le prodige de ce grand départ céleste qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté,...

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