Brèves

Zeaïter se penche sur la situation du port de Beyrouth
Le ministre des Travaux publics et des Transports, Ghazi Zeaïter, s'est réuni hier avec le conseil d'administration du port de Beyrouth, présidé par Hassan Koreitem. Ils se sont penchés sur la situation du port et des travaux en cours, dont notamment les travaux d'agrandissement de ce dernier.

Hajj Hassan : Il faut créer des cités industrielles
Le ministre de l'Industrie, Hussein Hajj Hassan, a mis l'accent hier « sur la nécessité de créer des cités industrielles ». Ces dernières, établies sur des terrains municipaux /appartenant à l'État, « devront être équipées d'une infrastructure complète et moderne », et gérées de manière « flexible », a-t-il ajouté. Ces propos ont été tenus hier lors d'une réunion avec une délégation du syndicat des propriétaires d'usines agroalimentaires, présidée par Mounir Bsat.

Saidaco ferme ses portes : les employés manifestent
Les employés de l'entreprise industrielle de remplissage et de distribution de gaz, Saidaco, ont organisé hier une manifestation, a rapporté l'Agence nationale d'information (ANI – officielle). Cette initiative, qui a eu lieu dans la région de Jnah, à Beyrouth, a été organisée en protestation contre la décision du ministre de l'Intérieur, Nouhad Machnouk, de faire fermer l'entreprise. Les 130 salariés de Saidaco ont fait part de leur peur de perdre leur emploi.

L'ordre des avocats et l'ABL se penchent sur des projets communs
Le président de l'ordre des avocats de Beyrouth, Georges Jreige, a rencontré hier le président de l'Association des banques du Liban (ABL), François Bassil, avec lequel il s'est penché sur de nombreux projets communs.

L'Union des employés de banque appelle à arrêter les licenciements
L'Union des employés de banque a appelé les banques à « respecter le droit de leurs employés à la pérennité de l'emploi et à s'abstenir de tout licenciement abusif », auquel cas elle se verrait dans l'obligation de recourir à la justice. L'Union a rappelé que l'application de l'article 50 du code du travail – à savoir qu'un contrat de travail à durée indéterminée conclu entre l'employeur et le salarié peut être résilié à tout moment par l'une ou l'autre des parties contractantes – « ne doit pas être appliqué en ces temps de crise ».