Sur le plan libanais, le chef du parti chiite a dénoncé le discours du 14 Mars qui accuse le parti de Dieu d'être responsable de la dégradation de la situation sécuritaire au Liban, notamment en raison de son implication dans la guerre en Syrie.
Evoquant la "déclaration de Tripoli", une conférence organisée par le 14 Mars dimanche dernier, Hassan Nasrallah a qualifié les propos de certains responsables de "très dangereux". "Ils nous ont accusé de takfiristes et de meurtriers, a dit le chef du Hezbollah. Ils refusent de former un gouvernement avec nous et rejettent toute offre de dialogue". "Ce discours est assimilé à une déclaration de guerre", a-t-il assuré.
"Nous n'avons pas du temps à vous consacrer, a dit Hassan Nasrallah au mouvement du 14 Mars. Notre ennemi c'est Israël. Nous n'avons pas l'intention de vous combattre".
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