L'ancien Premier ministre Saad Hariri a condamné mardi la reprise des affrontements à Tripoli, affirmant que la ville ne sera pas utilisée comme caisse de résonnance dans les conflits régionaux.
"Tripoli ne deviendra en aucune façon une place forte du régime syrien et de ses alliés au Liban", a déclaré M. Hariri dans un communiqué, appelant à démilitariser la ville.
"Tripoli appartient à tous ses habitants quelle que soit leur confession. Nous sommes convaincus que Tripoli dépassera cette phase difficile", a-t-il ajouté.
M. Hariri a appelé à "juger les coupables des violences et des attentats terroristes qui ont secoué Tripoli".
"Tripoli ne deviendra en aucune façon une place forte du régime syrien et de ses alliés au Liban", a déclaré M. Hariri dans un communiqué, appelant à démilitariser la ville.
"Tripoli...
Les plus commentés
Sur le front sud, le Hezbollah reprend l’initiative
Le quintette passe aux choses concrètes : une feuille de route et un délai
Mélanie Joly à « L’OLJ » : Le Canada a promis 65 millions de dollars d’aide au Liban