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Moyen Orient et Monde

« Le plus complexe » reste à venir pour la destruction de l’arsenal chimique

La coordinatrice de la mission conjointe entre l'ONU et l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Sigrid Kaag, a estimé hier à La Haye que le « plus complexe reste à venir » pour détruire l'arsenal chimique syrien, rappelant que les agents chimiques les plus dangereux devaient avoir quitté le pays en guerre pour le 31 décembre. Il existe de nombreux facteurs ne dépendant pas de la volonté de la mission conjointe qui « pourraient avoir des conséquences sur notre habilité à remplir nos objectifs dans les délais établis », a ajouté Mme Kaag, faisant allusion à la « situation, changeante, sur le terrain ». De son côté, le Pentagone a commencé à doter un navire, le MV Cape Ray, des équipements nécessaires pour pouvoir détruire à son bord une partie de l'arsenal chimique syrien, a affirmé hier le colonel Steven Warren, précisant toutefois que « le département de la Défense n'a été chargé d'aucune mission » à ce stade.
Dans le même temps, Damas a appelé la communauté internationale à « passer à l'acte » en lui fournissant les ressources nécessaires pour assurer la destruction de cet arsenal plutôt que de se contenter de « déclarations ».

La coordinatrice de la mission conjointe entre l'ONU et l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Sigrid Kaag, a estimé hier à La Haye que le « plus complexe reste à venir » pour détruire l'arsenal chimique syrien, rappelant que les agents chimiques les plus dangereux devaient avoir quitté le pays en guerre pour le 31 décembre. Il existe de nombreux facteurs ne...
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