Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a estimé vendredi à Ankara que "si elle était avérée" la frappe israélienne en Syrie ne pouvait qu'"envenimer le conflit et les tensions" dans ce pays, en proie à une guerre civile.
"Cette information n'a pas encore été confirmée, mais si elle est avérée, nous dénonçons de la manière la plus forte toute attaque de ce genre visant la Syrie", a-t-il déclaré à la presse au cours d'une visite en Turquie.
La chaîne de télévision satellitaire Al-Arabiya a rapporté jeudi qu'Israël avait frappé une base militaire aérienne dans le nord-ouest de la Syrie, visant une cargaison de missiles destinée au mouvement chiite libanais Hezbollah qui combat les rebelles aux côtés des forces syriennes.
Un responsable américain a confirmé à l'AFP une "frappe israélienne", mais n'a pas donné de détails sur la cible.
"Toute attaque visant l'Iran ne fera qu'accroître les tensions et servir les intérêts des milieux qui veulent la poursuite de la guerre, et entraver toute tentative en faveur de la paix", a souligné le ministre iranien dont le pays entretient des liens étroits avec le régime de Damas.
"Cette information n'a pas encore été confirmée, mais si elle est avérée, nous dénonçons de la manière la plus forte toute attaque de ce genre visant la Syrie", a-t-il déclaré à la presse au cours d'une visite en Turquie.
La chaîne de télévision satellitaire Al-Arabiya a rapporté jeudi qu'Israël avait frappé une base militaire aérienne dans le nord-ouest de la Syrie, visant une cargaison de missiles destinée au mouvement chiite libanais Hezbollah qui combat les rebelles aux côtés des forces syriennes.
Un responsable américain a confirmé à l'AFP une "frappe israélienne", mais n'a pas donné de détails sur la cible.
"Toute attaque visant l'Iran ne fera qu'accroître les tensions et servir les intérêts des milieux qui veulent la poursuite de la guerre, et entraver toute tentative en faveur de la paix", a souligné le ministre iranien dont le pays entretient des liens étroits avec le régime de Damas.
Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a estimé vendredi à Ankara que "si elle était avérée" la frappe israélienne en Syrie ne pouvait qu'"envenimer le conflit et les tensions" dans ce pays, en proie à une guerre civile."Cette information n'a pas encore été confirmée, mais si elle est avérée, nous dénonçons de la manière la plus forte toute attaque de ce genre...
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