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Moyen Orient et Monde - Mali

Comment répondre aux « frustrations » des Touareg ?

Des « états généraux de la décentralisation » se sont ouverts hier à Bamako pour aider à résoudre la crise dans le nord du Mali et répondre notamment aux « frustrations » des Touareg, selon le président malien Ibrahim Boubacar Keïta en ouvrant les travaux de cette rencontre qui s’achève mercredi. Le chef de l’État a reconnu des « insuffisances et des dysfonctionnements » dans la politique de décentralisation jusqu’alors menée au Mali. Selon le président Keïta, « l’une des causes du cataclysme qu’a connu notre pays est la déliquescence de l’État ». « Notre vision est celle d’un État fort », mais « l’État fort n’est pas antinomique des collectivités locales fortes », car « cet État doit garantir à tous les citoyens les mêmes droits, l’accès aux soins, à l’éducation... », a-t-il ajouté.
Quelque 600 personnes participent à ces « états généraux », représentants de l’État et des régions essentiellement. Ils sont une des premières phases d’un dialogue censé pacifier le nord du Mali, soumis en 2012 à une rébellion touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), suivie d’un coup d’État militaire à Bamako, puis d’une occupation par des groupes islamistes armés liés à el-Qaëda dont des éléments restent actifs dans la région.
Si elle doit s’appliquer à l’ensemble des régions maliennes, une décentralisation plus poussée concerne plus spécifiquement le nord du pays, vaste région désertique qui occupe les deux tiers du territoire et où les infrastructures de base (eau, électricité, santé, éducation, routes) sont déficientes, voire inexistantes. La pauvreté a servi de terreau depuis plusieurs années à divers groupes armés aux motivations politiques, religieuses et/ou criminelles, qui s’y sont livrés à toutes sortes de trafics et de violences.

(Source : AFP)
Des « états généraux de la décentralisation » se sont ouverts hier à Bamako pour aider à résoudre la crise dans le nord du Mali et répondre notamment aux « frustrations » des Touareg, selon le président malien Ibrahim Boubacar Keïta en ouvrant les travaux de cette rencontre qui s’achève mercredi. Le chef de l’État a reconnu des « insuffisances et des...

commentaires (1)

le problème des touaregs est simple...non seulement, ils ont fait chier les populations locales depuis des siècles ,pilleurs de rezzous qu'il sont, mais en plus, les voilà qui jouent les islamistes plus noirs que noirs...esclavagistes jusqu'à il n'y a pas si longtemps, transformés en pillards organisés depuis, ils arrêtent pas de de faire chier cette région....mais qu'on leur donne un pays...et surtout, qu'on les y cantonne...ils n'ont rien de romantique ,ni de sympathique...c'est fou ce que trois feuilles de mauvaise littérature peuvent produire comme effet... la légende touareg est ce qu'elle est, une simple légende...un bandit reste un bandit, même quand on l'enveloppe de littérature!

GEDEON Christian

18 h 14, le 22 octobre 2013

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Commentaires (1)

  • le problème des touaregs est simple...non seulement, ils ont fait chier les populations locales depuis des siècles ,pilleurs de rezzous qu'il sont, mais en plus, les voilà qui jouent les islamistes plus noirs que noirs...esclavagistes jusqu'à il n'y a pas si longtemps, transformés en pillards organisés depuis, ils arrêtent pas de de faire chier cette région....mais qu'on leur donne un pays...et surtout, qu'on les y cantonne...ils n'ont rien de romantique ,ni de sympathique...c'est fou ce que trois feuilles de mauvaise littérature peuvent produire comme effet... la légende touareg est ce qu'elle est, une simple légende...un bandit reste un bandit, même quand on l'enveloppe de littérature!

    GEDEON Christian

    18 h 14, le 22 octobre 2013

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