Une brigade rebelle a affirmé lundi que le régime syrien n'avait élargi aucune des dizaines de prisonnières syriennes qui devaient être libérées ce week-end dans le cadre d'un accord qu'elle a elle-même respecté.
La brigade Tempête du Nord, basée dans le nord de la Syrie, a relâché neuf pèlerins chiites libanais après 17 mois de détention, en vertu de cet accord négocié par la Turquie, le Qatar et le Liban.
En contrepartie, deux pilotes turcs enlevés à Beyrouth ont été relâchés. Mais le complexe accord prévoyait également la libération de 100 à 200 détenues syriennes, devant arriver en Turquie.
"Nous avons envoyé une délégation (...) accueillir les femmes à l'aéroport d'Adana (en Turquie)", mais aucune n'est arrivée, a affirmé la brigade dans un communiqué.
Les autorités libanaises avaient remercié à plusieurs reprises la Syrie samedi d'avoir accepté la demande des rebelles de libérer ces femmes.
La veille, le ministre libanais de l'Intérieur Marwane Charbel avait même affirmé qu'un responsable de la sécurité chargé de négocier avec les autorités syriennes leur avait fourni une liste de 200 noms, et que les autorités de Damas "coopéraient très bien" sur la question.
Mais Damas reste muette depuis.
La brigade rebelle "souligne les efforts nécessaires de la part de chaque partie pour s'assurer que les femmes soient libérées immédiatement, et pour soulager la douleur du peuple syrien en les rendant à leurs familles et leurs enfants".
Elle affirme également que les discussions concernant cet accord se sont accélérées récemment en raison de la progression d'un groupe lié à Al-Qaïda à Azaz, dans le nord de la Syrie.
"A cause de l'occupation de nos bases par l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), nous avons dû hâter l'échange", a expliqué la brigade, qui a combattu pendant des semaines pour empêcher l'avancée de l'EIIL.
Tempête du Nord a par ailleurs nié avoir reçu de l'argent en échange des otages, contrairement "à ce que des médias provocateurs libanais ont affirmé". La somme de 100 millions d'euros avait été évoquée par le journal Asharq Al-Awsat.
Des dizaines de milliers de personnes sont détenues par le régime syrien, la plupart sans procès, selon des opposants.
La brigade Tempête du Nord, basée dans le nord de la Syrie, a relâché neuf pèlerins chiites libanais après 17 mois de détention, en vertu de cet accord négocié par la Turquie, le Qatar et le Liban.
En contrepartie, deux pilotes turcs enlevés à Beyrouth ont été relâchés. Mais le complexe accord prévoyait également la libération de 100 à 200 détenues syriennes, devant arriver en Turquie.
"Nous avons envoyé une délégation (...) accueillir les femmes à l'aéroport d'Adana (en Turquie)", mais aucune n'est arrivée, a affirmé la brigade dans un communiqué.
Les autorités libanaises avaient remercié à plusieurs reprises la Syrie samedi d'avoir accepté la demande des rebelles de libérer ces femmes.
La veille, le ministre libanais de l'Intérieur Marwane Charbel avait même affirmé qu'un responsable de la sécurité chargé de négocier avec les autorités syriennes leur avait fourni une liste de 200 noms, et que les autorités de Damas "coopéraient très bien" sur la question.
Mais Damas reste muette depuis.
La brigade rebelle "souligne les efforts nécessaires de la part de chaque partie pour s'assurer que les femmes soient libérées immédiatement, et pour soulager la douleur du peuple syrien en les rendant à leurs familles et leurs enfants".
Elle affirme également que les discussions concernant cet accord se sont accélérées récemment en raison de la progression d'un groupe lié à Al-Qaïda à Azaz, dans le nord de la Syrie.
"A cause de l'occupation de nos bases par l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), nous avons dû hâter l'échange", a expliqué la brigade, qui a combattu pendant des semaines pour empêcher l'avancée de l'EIIL.
Tempête du Nord a par ailleurs nié avoir reçu de l'argent en échange des otages, contrairement "à ce que des médias provocateurs libanais ont affirmé". La somme de 100 millions d'euros avait été évoquée par le journal Asharq Al-Awsat.
Des dizaines de milliers de personnes sont détenues par le régime syrien, la plupart sans procès, selon des opposants.
Une brigade rebelle a affirmé lundi que le régime syrien n'avait élargi aucune des dizaines de prisonnières syriennes qui devaient être libérées ce week-end dans le cadre d'un accord qu'elle a elle-même respecté.La brigade Tempête du Nord, basée dans le nord de la Syrie, a relâché neuf pèlerins chiites libanais après 17 mois de détention, en vertu de cet accord négocié par la...
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