À M. Fatfat, qui déplorait « l’obstination » du président de la Chambre, Nabih Berry, à maintenir un ordre du jour législatif « débordant » en dépit du fait que le Parlement n’est pas en session ordinaire et qu’il n’existe pas de gouvernement en titre, M. Bazzi a répliqué en usant de calembours sur le nom de son adversaire.
Le terme « débordant » se traduisant en arabe par « fadfad », M. Bazzi n’a pu s’empêcher de faire le parallèle avec le mot « effritement », qui se traduit par « fatfat » et l’expression « tout petits morceaux », qui se traduit par « fatafite ».
Le bureau de presse de M. Fatfat a répondu en dénonçant le « style insultant » du député berryste et « l’absence chez lui d’argumentation politique ».
M. Bazzi devait revenir à la charge en accusant une nouvelle fois des officiers des FSI d’avoir offert le thé à des militaires israéliens à la caserne de Marjeyoun en pleine guerre de juillet 2006, à l’époque où M. Fatfat était ministre de l’Intérieur.
3AYB C'EST PEU DIRE... SURTOUT QUAND SON NOM LAISSE LA PLACE LIBRE AUX AUTRES...
13 h 57, le 25 septembre 2013