Des habitants d'Aazaz, dans le nord de la Syrie, ont lancé jeudi des appels sur les réseaux sociaux pour demander aux jihadistes de quitter leur ville qu'ils ont conquise mercredi tandis que l'Armée syrienne libre a dépêché des renforts dans la cité frontalière de la Turquie.
"L'EIIL ne me représente pas" est le titre de cette campagne qui fait référence aux combattants de l'Etat islamique d'Irak et du Levant, lié à el-Qaëda, dont les combattants ont pris mercredi soir le contrôle de la ville.
"J'espère qu'Aazaz sera le tombeau de l'EIIL", écrit un habitant sur son compte Twitter. "Après avoir échoué en Afghanistan contre les Américains et en Irak contre les Iraniens, vous vous en prenez aux Syriens qui se dressent contre un régime criminel", a déploré un autre.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a indiqué que la situation était calme dans la ville et annoncé l'envoi de renforts de l'Armée syrienne libre (ALS) dans la ville, la Brigade Tawhid.
"La Brigade va s'employer à calmer la situation", a indiqué à l'AFP un porte-parole de cette unité, l'une des grosses composantes de l'ASL. "Nous allons faire la maximum pour résoudre le différend et trouver une formule de nature à satisfaire toutes les parties".
L'envoi de la Brigade Tawhid s'est faite à la demande du Bataillon de la tempête du nord, relevant aussi de l'ASL, basé dans la ville et dont les combattants n'ont pas pu résister à ceux de l'EIIL.
Sur les réseaux sociaux, un militant a dit craindre voir les jihadistes imposer la charia (loi islamique) dans la ville en disant "ne pas en vouloir quitte à ce qu'il soit déclaré apostat".
Certaines voix s'élèvent toutefois sur les réseaux sociaux pour souhaiter la bienvenue aux combattants jihadistes.
Selon des militants, l'assaut des jihadistes à Aazaz a débuté par une attaque contre l'hôpital de la ville où ils voulaient enlever un médecin allemand.
Une autre version indique que les incidents ont commencé lorsque des combattants du Bataillon de la tempête du nord escortant un journaliste allemand ont empêché des jihadistes de l'enlever.
La Turquie a provisoirement fermé jeudi le poste-frontière d'Oncüpinar proche d'Aazaz après sa prise par les jihadistes alors que celui de Bab al-Salameh, situé côté syrien a été fermé depuis mercredi soir, ont indiqué les rebelles non-jihadistes.
"L'EIIL ne me représente pas" est le titre de cette campagne qui fait référence aux combattants de l'Etat islamique d'Irak et du Levant, lié à el-Qaëda, dont les combattants ont pris mercredi soir le contrôle de la ville.
"J'espère qu'Aazaz sera le tombeau de l'EIIL", écrit un habitant sur son compte Twitter. "Après avoir échoué en Afghanistan contre les Américains et en Irak contre les Iraniens, vous vous en prenez aux Syriens qui se dressent contre un régime criminel", a déploré un autre.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a indiqué que la situation était calme dans la ville et annoncé l'envoi de renforts de l'Armée syrienne libre (ALS) dans la ville, la Brigade Tawhid.
"La Brigade va s'employer à calmer la situation", a indiqué à l'AFP un porte-parole de cette unité, l'une des grosses composantes de l'ASL. "Nous allons faire la maximum pour résoudre le différend et trouver une formule de nature à satisfaire toutes les parties".
L'envoi de la Brigade Tawhid s'est faite à la demande du Bataillon de la tempête du nord, relevant aussi de l'ASL, basé dans la ville et dont les combattants n'ont pas pu résister à ceux de l'EIIL.
Sur les réseaux sociaux, un militant a dit craindre voir les jihadistes imposer la charia (loi islamique) dans la ville en disant "ne pas en vouloir quitte à ce qu'il soit déclaré apostat".
Certaines voix s'élèvent toutefois sur les réseaux sociaux pour souhaiter la bienvenue aux combattants jihadistes.
Selon des militants, l'assaut des jihadistes à Aazaz a débuté par une attaque contre l'hôpital de la ville où ils voulaient enlever un médecin allemand.
Une autre version indique que les incidents ont commencé lorsque des combattants du Bataillon de la tempête du nord escortant un journaliste allemand ont empêché des jihadistes de l'enlever.
La Turquie a provisoirement fermé jeudi le poste-frontière d'Oncüpinar proche d'Aazaz après sa prise par les jihadistes alors que celui de Bab al-Salameh, situé côté syrien a été fermé depuis mercredi soir, ont indiqué les rebelles non-jihadistes.
Des habitants d'Aazaz, dans le nord de la Syrie, ont lancé jeudi des appels sur les réseaux sociaux pour demander aux jihadistes de quitter leur ville qu'ils ont conquise mercredi tandis que l'Armée syrienne libre a dépêché des renforts dans la cité frontalière de la Turquie."L'EIIL ne me représente pas" est le titre de cette campagne qui fait référence aux combattants de l'Etat...
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