Des mandats d'arrêt ont été lancés contre deux Syriens par la justice militaire libanaise dans le cadre de l'enquête sur des attaques contre des convois du Hezbollah chiite, selon une source judiciaire mardi.
Le premier mandat concerne Amer Hamdane, en détention préventive, et le second vise, Motassem Hamdane, en fuite, a-t-elle précisé, sans pouvoir dire s'il existe un lien de parenté entre les deux hommes.
Les deux Syriens sont considérés comme proches de l'opposition au régime du président Bachar al-Assad que soutient activement le Hezbollah.
Le premier suspect a été interpellé le 23 juillet, une semaine après la dernière d'une série d'attaques à la bombe contre des convois du Hezbollah près de la frontière avec la Syrie.
Une personne avait été tuée et trois blessées dans l'une des explosions survenue le 16 juillet.
Le parti chiite libanais a envoyé ses combattants prêter main forte aux forces du régime Assad contre les rebelles en Syrie.
Les Libanais sont divisés entre partisans des rebelles et soutiens du régime de Damas et le Liban a subi les répercussions du conflit chez son voisin de l'est.
La justice libanaise avait accusé cinq personnes, dont deux Syriens y compris un capitaine de l'armée, d'implication dans le double attentat contre des mosquées sunnites de Tripoli dans le nord du Liban le 23 août (45 morts).
Les attentats à Tripoli, à majorité sunnite et soutenant les rebelles syriens, s'étaient produits une semaine après un attentat à la voiture piégée dans la banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah (27 morts).
Par ailleurs, une source judiciaire libanaise a indiqué qu'un Syrien avait péri mardi dans l'explosion d'un engin dans sa maison à Halat, à 25 km au nord de Beyrouth. Une enquête a été ouverte.
Le premier mandat concerne Amer Hamdane, en détention préventive, et le second vise, Motassem Hamdane, en fuite, a-t-elle précisé, sans pouvoir dire s'il existe un lien de parenté entre les deux hommes.
Les deux Syriens sont considérés comme proches de l'opposition au régime du président Bachar al-Assad que soutient activement le Hezbollah.
Le premier suspect a été interpellé le 23 juillet, une semaine après la dernière d'une série d'attaques à la bombe contre des convois du Hezbollah près de la frontière avec la Syrie.
Une personne avait été tuée et trois blessées dans l'une des explosions survenue le 16 juillet.
Le parti chiite libanais a envoyé ses combattants prêter main forte aux forces du régime Assad contre les rebelles en Syrie.
Les Libanais sont divisés entre partisans des rebelles et soutiens du régime de Damas et le Liban a subi les répercussions du conflit chez son voisin de l'est.
La justice libanaise avait accusé cinq personnes, dont deux Syriens y compris un capitaine de l'armée, d'implication dans le double attentat contre des mosquées sunnites de Tripoli dans le nord du Liban le 23 août (45 morts).
Les attentats à Tripoli, à majorité sunnite et soutenant les rebelles syriens, s'étaient produits une semaine après un attentat à la voiture piégée dans la banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah (27 morts).
Par ailleurs, une source judiciaire libanaise a indiqué qu'un Syrien avait péri mardi dans l'explosion d'un engin dans sa maison à Halat, à 25 km au nord de Beyrouth. Une enquête a été ouverte.
Des mandats d'arrêt ont été lancés contre deux Syriens par la justice militaire libanaise dans le cadre de l'enquête sur des attaques contre des convois du Hezbollah chiite, selon une source judiciaire mardi.Le premier mandat concerne Amer Hamdane, en détention préventive, et le second vise, Motassem Hamdane, en fuite, a-t-elle précisé, sans pouvoir dire s'il existe un lien de parenté...
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