Les prix du pétrole new-yorkais se sont repliés vendredi, pour la deuxième séance consécutive après avoir atteint un pic en deux ans cette semaine, dans l'attente d'une éventuelle intervention militaire en Syrie.
Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en octobre, qui avait clôturé à 108,80 dollars la veille, a perdu 1,15 dollar sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) pour s'établir à 107,65 dollars.
Le baril de brut avait bondi à plus de 110 dollars cette semaine, renchéri par l'éventualité d'une intervention internationale imminente en Syrie en réponse à des attaques présumées à l'arme chimique du régime.
Mais faute de consensus entre les puissances occidentales qui aurait pu permettre de mener immédiatement de telles frappes militaires, le cours est reparti à la baisse.
"Il y a eu une ruée sur le marché dans la semaine, mais en l'absence de plus d'informations (sur une intervention en Syrie), les investisseurs se sont retirés", souligne Matt Smith.
"C'est certes étrange de voir un mouvement de ventes car une intervention militaire reste probable, mais il semble que ce sera plutôt une intervention contenue qu'une grosse opération sans limites dans le temps", indique-t-il.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a en effet évoqué vendredi devant la presse une réponse militaire "ajustée" et qui ne serait pas "infinie" dans le temps, ciblée et sans troupes au sol, contre la Syrie.
Le régime de Bachar Al-Assad est accusé, notamment par Washington, d'avoir perpétré une attaque à l'arme chimique contre son peuple faisant 1.429 morts dont 426 enfants près de Damas le 21 août, selon le renseignement américain.
Malgré le discours de John Kerry, le marché est resté calme "avant un long week-end", observe également Matt Smith.
Par ailleurs, le dollar continuait de se renforcer face à l'euro. Or un renchérissement du dollar a tendance à faire baisser le prix du baril car il pénalise les investisseurs munis d'autres devises.
Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en octobre, qui avait clôturé à 108,80 dollars la veille, a perdu 1,15 dollar sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) pour s'établir à 107,65 dollars.
Le baril de brut avait bondi à plus de 110 dollars cette semaine, renchéri par l'éventualité d'une intervention internationale imminente en Syrie en réponse à des attaques présumées à l'arme chimique du régime.
Mais faute de consensus entre les puissances occidentales qui aurait pu permettre de mener immédiatement de telles frappes militaires, le cours est reparti à la baisse.
"Il y a eu une ruée sur le marché dans la semaine, mais en l'absence de plus d'informations (sur une intervention en Syrie), les investisseurs se sont retirés", souligne Matt Smith.
"C'est certes étrange de voir un mouvement de ventes car une intervention militaire reste probable, mais il semble que ce sera plutôt une intervention contenue qu'une grosse opération sans limites dans le temps", indique-t-il.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a en effet évoqué vendredi devant la presse une réponse militaire "ajustée" et qui ne serait pas "infinie" dans le temps, ciblée et sans troupes au sol, contre la Syrie.
Le régime de Bachar Al-Assad est accusé, notamment par Washington, d'avoir perpétré une attaque à l'arme chimique contre son peuple faisant 1.429 morts dont 426 enfants près de Damas le 21 août, selon le renseignement américain.
Malgré le discours de John Kerry, le marché est resté calme "avant un long week-end", observe également Matt Smith.
Par ailleurs, le dollar continuait de se renforcer face à l'euro. Or un renchérissement du dollar a tendance à faire baisser le prix du baril car il pénalise les investisseurs munis d'autres devises.
Les prix du pétrole new-yorkais se sont repliés vendredi, pour la deuxième séance consécutive après avoir atteint un pic en deux ans cette semaine, dans l'attente d'une éventuelle intervention militaire en Syrie.Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en octobre, qui avait clôturé à 108,80 dollars la veille, a perdu 1,15 dollar sur le New York Mercantile Exchange (Nymex)...
