La chancelière Angela Merkel a critiqué la Russie et la Chine qui ont empêché à l'ONU l'adoption d'une déclaration demandant à la Syrie de laisser les inspecteurs de l'organisation enquêter sur une attaque chimique, dans une interview.
Selon les extraits de cet entretien au magazine allemand Focus, rendus publics samedi, la chancelière affirme que "malheureusement, l'opposition de la Russie et de la Chine a empêché une déclaration formelle du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à leur (aux inspecteurs de l'ONU, ndlr) garantir un libre accès" aux zones concernées.
Plus tard, dans la journée de samedi, elle a "salué le fait que la Russie soit disposée à soutenir des investigations indépendantes en Syrie", selon un communiqué gouvernemental qui prenait visiblement en compte l'évolution de la position russe sur ce dossier.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a, par la suite, déclaré s'être entretenu avec son homologue russe, Sergueï Lavrov, "à propos de la situation actuelle en Syrie", sans préciser le contenu de leur conversation.
Le régime de Bachar al-Assad est accusé d'avoir utilisé des armes chimiques ayant fait un grand nombre de victimes - l'opposition syrienne parle de 1.300 morts - mercredi près de Damas.
L'organisation Médecins sans frontières (MSF) a affirmé samedi que 355 patients "présentant des symptômes neurotoxiques" étaient morts dans des hôpitaux de la région de Damas depuis mercredi, semblant confirmer l'utilisation d'armes chimiques évoquée par l'opposition qui accuse le régime.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a averti que l'utilisation d'armes chimiques constituerait un "crime contre l'humanité" aux "graves conséquences pour celui qui l'a perpétré".
Selon les extraits de cet entretien au magazine allemand Focus, rendus publics samedi, la chancelière affirme que "malheureusement, l'opposition de la Russie et de la Chine a empêché une déclaration formelle du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à leur (aux inspecteurs de l'ONU, ndlr) garantir un libre accès" aux zones concernées.
Plus tard, dans la journée de samedi, elle a "salué le fait que la Russie soit disposée à soutenir des investigations indépendantes en Syrie", selon un communiqué gouvernemental qui prenait visiblement en compte l'évolution de la position russe sur ce dossier.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a, par la suite, déclaré s'être entretenu avec son homologue russe, Sergueï Lavrov, "à propos de la situation actuelle en Syrie", sans préciser le contenu de leur conversation.
Le régime de Bachar al-Assad est accusé d'avoir utilisé des armes chimiques ayant fait un grand nombre de victimes - l'opposition syrienne parle de 1.300 morts - mercredi près de Damas.
L'organisation Médecins sans frontières (MSF) a affirmé samedi que 355 patients "présentant des symptômes neurotoxiques" étaient morts dans des hôpitaux de la région de Damas depuis mercredi, semblant confirmer l'utilisation d'armes chimiques évoquée par l'opposition qui accuse le régime.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a averti que l'utilisation d'armes chimiques constituerait un "crime contre l'humanité" aux "graves conséquences pour celui qui l'a perpétré".
La chancelière Angela Merkel a critiqué la Russie et la Chine qui ont empêché à l'ONU l'adoption d'une déclaration demandant à la Syrie de laisser les inspecteurs de l'organisation enquêter sur une attaque chimique, dans une interview.Selon les extraits de cet entretien au magazine allemand Focus, rendus publics samedi, la chancelière affirme que "malheureusement, l'opposition de la...
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