"Toutes les questions du conflit" entre Israéliens et Palestiniens ont été abordées lors de la reprise des négociations de paix directes, a déclaré jeudi le président palestinien Mahmoud Abbas, tout en respectant la discrétion qui entoure les discussions.
"Nous ne pouvons rien dire de ce qui s'est passé", a déclaré M. Abbas lors d'une conférence de presse commune avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. "Nous avons parlé des questions qui sont toujours sur la table: les frontières, Jérusalem et les colonies", a-t-il cependant précisé.
Le secrétaire général de l'ONU a de son côté invité les deux parties à éviter toute action qui pourrait gêner les fragiles négociations de paix qui reprennent après un gel de trois ans.
Depuis Amman, où il était plus tôt dans la journée, Ban Ki-moon a également appelé Israéliens et Palestiniens à la "patience", a rapporté l'agence jordanienne Petra.
Les négociateurs israéliens et palestiniens se sont réunis mercredi soir à Jérusalem et ont convenu de se retrouver dans les prochains jours pour poursuivre leurs discussions, selon les médias israéliens.
Ban Ki-moon, qui doit rencontrer vendredi le président et le Premier ministre israéliens Shimon Peres et Benjamin Netanyahu, a déclaré jeudi à Ramallah qu'il était enchanté "de visiter la Palestine".
Depuis le 29 novembre et un vote de l'Assemblée générale des Nations unies, "l'entité" palestinienne est devenue un "Etat observateur non membre" de l'ONU et utilise désormais le terme "Etat de Palestine" dans ses correspondances diplomatiques.
Dans le cadre de sa visite au Proche-Orient destinée à soutenir les pourparlers de paix, Ban Ki-moon avait rencontré plus tôt jeudi le roi de Jordanie Abdallah II à Amman pour discuter du processus de paix, ainsi que de la situation des réfugiés syriens accueillis dans le royaume, selon un communiqué du Palais.
"Le secrétaire général de l'ONU a souligné qu'il s'était engagé à travailler avec la communauté internationale afin d'augmenter l'aide allouée à la Jordanie, et à aider à alléger le poids de l'accueil des réfugiés syriens", ajoute le communiqué.
La Jordanie, qui accueille plus de 500.000 réfugiés syriens, a demandé à plusieurs reprises de l'aide, arguant que des ressources limitées freinaient sa capacité à surmonter la crise.
"Nous ne pouvons rien dire de ce qui s'est passé", a déclaré M. Abbas lors d'une conférence de presse commune avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. "Nous avons parlé des questions qui sont toujours sur la table: les frontières, Jérusalem et les colonies", a-t-il cependant précisé.
Le secrétaire général de l'ONU a de son côté invité les deux parties à éviter toute action qui pourrait gêner les fragiles négociations de paix qui reprennent après un gel de trois ans.
Depuis Amman, où il était plus tôt dans la journée, Ban Ki-moon a également appelé Israéliens et Palestiniens à la "patience", a rapporté l'agence jordanienne Petra.
Les négociateurs israéliens et palestiniens se sont réunis mercredi soir à Jérusalem et ont convenu de se retrouver dans les prochains jours pour poursuivre leurs discussions, selon les médias israéliens.
Ban Ki-moon, qui doit rencontrer vendredi le président et le Premier ministre israéliens Shimon Peres et Benjamin Netanyahu, a déclaré jeudi à Ramallah qu'il était enchanté "de visiter la Palestine".
Depuis le 29 novembre et un vote de l'Assemblée générale des Nations unies, "l'entité" palestinienne est devenue un "Etat observateur non membre" de l'ONU et utilise désormais le terme "Etat de Palestine" dans ses correspondances diplomatiques.
Dans le cadre de sa visite au Proche-Orient destinée à soutenir les pourparlers de paix, Ban Ki-moon avait rencontré plus tôt jeudi le roi de Jordanie Abdallah II à Amman pour discuter du processus de paix, ainsi que de la situation des réfugiés syriens accueillis dans le royaume, selon un communiqué du Palais.
"Le secrétaire général de l'ONU a souligné qu'il s'était engagé à travailler avec la communauté internationale afin d'augmenter l'aide allouée à la Jordanie, et à aider à alléger le poids de l'accueil des réfugiés syriens", ajoute le communiqué.
La Jordanie, qui accueille plus de 500.000 réfugiés syriens, a demandé à plusieurs reprises de l'aide, arguant que des ressources limitées freinaient sa capacité à surmonter la crise.
"Toutes les questions du conflit" entre Israéliens et Palestiniens ont été abordées lors de la reprise des négociations de paix directes, a déclaré jeudi le président palestinien Mahmoud Abbas, tout en respectant la discrétion qui entoure les discussions."Nous ne pouvons rien dire de ce qui s'est passé", a déclaré M. Abbas lors d'une conférence de presse commune avec le secrétaire...
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