La République islamique d'Iran est "hostile" aux négociations de paix israélo-palestiniennes, a déclaré mercredi Abbas Araghchi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, à l'agence Isna.
"L'Iran est hostile à ces négociations et de nombreux groupes palestiniens y sont hostiles", a déclaré M. Araghchi.
"Le contexte actuel n'est pas approprié pour des négociations. Dans les faits, le régime sioniste poursuit la construction de nouveaux logements qui aussi condamnée par les Européens et les Etats-Unis, mais le régime sioniste fait ce qu'il veut", a-t-il poursuivi.
Les négociations entre le gouvernement israélien et l'Autorité palestinienne doivent reprendre ce mercredi alors qu'Israël a lancé de projets de constructions dans les colonies.
"Ces négociations sont déséquilibrées et les droits du peuple palestinien comme le droit au retour, l'autodétermination et la question de Qods (Jérusalem, ndlr) comme capitale des Palestiniens sont ignorées et de ce fait ne vont pas donner de résultats", a ajouté M. Araghchi.
L'Iran ne reconnaît pas Israël et les dirigeants iraniens ont déclaré à plusieurs reprises que l'Etat hébreu allait disparaître de la scène régionale. Le nouveau président iranien, le modéré Hassan Rohani, a affirmé pour sa part récemment qu'Israël était "une blessure dans le corps du monde musulman".
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé cette semaine à "augmenter les pressions" sur l'Iran, la "seule façon" selon lui d'empêcher Téhéran de se procurer l'arme atomique.
Les Occidentaux et Israël soupçonnent en effet l'Iran de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert de programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
"L'Iran est hostile à ces négociations et de nombreux groupes palestiniens y sont hostiles", a déclaré M. Araghchi.
"Le contexte actuel n'est pas approprié pour des négociations. Dans les faits, le régime sioniste poursuit la construction de nouveaux logements qui aussi condamnée par les Européens et les Etats-Unis, mais le régime sioniste fait ce qu'il veut", a-t-il poursuivi.
Les négociations entre le gouvernement israélien et l'Autorité palestinienne doivent reprendre ce mercredi alors qu'Israël a lancé de projets de constructions dans les colonies.
"Ces négociations sont déséquilibrées et les droits du peuple palestinien comme le droit au retour, l'autodétermination et la question de Qods (Jérusalem, ndlr) comme capitale des Palestiniens sont ignorées et de ce fait ne vont pas donner de résultats", a ajouté M. Araghchi.
L'Iran ne reconnaît pas Israël et les dirigeants iraniens ont déclaré à plusieurs reprises que l'Etat hébreu allait disparaître de la scène régionale. Le nouveau président iranien, le modéré Hassan Rohani, a affirmé pour sa part récemment qu'Israël était "une blessure dans le corps du monde musulman".
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé cette semaine à "augmenter les pressions" sur l'Iran, la "seule façon" selon lui d'empêcher Téhéran de se procurer l'arme atomique.
Les Occidentaux et Israël soupçonnent en effet l'Iran de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert de programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
La République islamique d'Iran est "hostile" aux négociations de paix israélo-palestiniennes, a déclaré mercredi Abbas Araghchi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, à l'agence Isna. "L'Iran est hostile à ces négociations et de nombreux groupes palestiniens y sont hostiles", a déclaré M. Araghchi. "Le contexte actuel n'est pas approprié pour des négociations....
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