Le président de la République, Michel Sleiman, a réitéré mercredi son appel au respect de la déclaration de Baabda, soulignant la nécessité pour les parties libanaises de mettre un terme à leur implication dans la crise syrienne qui s'est avérée contraire aux intérêts du Liban. M. Sleiman a dans ce contexte appelé à "ne pas sacrifier le Liban sur l'autel de la démocratie des autres", surtout que le pays a payé un lourd tribut, et ce pour des décennies, afin de préserver sa démocratie.
Le chef de l’État a par ailleurs souhaité que le Parlement entame la préparation d'une nouvelle loi électorale sur base de laquelle se tiendront les prochaines législatives.
Les plus commentés
Le faux pas de Samir Geagea… et de l’opposition ?
Crimes israéliens commis au Liban dès le 7 octobre : quelle suite au recours du gouvernement libanais devant la CPI ?
« Lollars », « éligibles », « illégitimes »... les vrais enjeux de la classification des dépôts