Le secrétariat général du 14 Mars, réuni hier sous la présidence de M. Souhaid. Photo Hassan Assal
Le secrétariat général du 14 Mars a planché hier au cours de sa réunion hebdomadaire sur la visite qu’il compte entreprendre dimanche à Saïda en signe de solidarité avec la ville.
« La ville qui, à travers toutes ses composantes, constitue un modèle de convivialité islamo-chrétienne, a subi une grosse blessure. Elle a été un réservoir essentiel de la manifestation du 14 mars 2005, et il est tout naturel que sa blessure soit celle du Liban tout entier », a indiqué le coordinateur général du 14 Mars, l’ancien député Farès Souhaid, à l’issue de la réunion.
M. Souhaid a précisé que la visite du 14 Mars à Saïda sera organisée en collaboration notamment avec le courant du Futur et la Jamaa islamiya et les différents partis qui se trouvent sur le terrain. « L’objectif est de se solidariser avec les habitants de la ville et d’ajouter nos voix à celles des députés de la région qui ont présenté un mémorandum au président de la République, Michel Sleiman, ainsi qu’au commandement de l’armée, réclamant la vérité sur les événements qui se sont produits à Saïda », a-t-il indiqué.
Farès Souhaid a par ailleurs souligné l’attachement du 14 Mars à la paix civile. « S’il y a un camp, à la tête duquel se trouve le Hezbollah, qui souhaite entraîner le pays dans la guerre civile, le 14 Mars restera le rempart pour faire face à ce complot. Nous voulons assurer au Liban et aux Libanais la paix civile, la coexistence et le passage effectif à l’État réel », a-t-il noté.
Rejetant en bloc les accusations selon lesquelles le 14 Mars aurait soutenu les mouvements salafistes, M. Souhaid a estimé que « c’est le Liban tout entier qui est visé, et non la communauté sunnite exclusivement ». « Nous voulons qu’il y ait une seule armée au Liban, et non deux. Nous ne voulons pas d’armes échappant au contrôle de la légalité », a-t-il ajouté, estimant que le Hezbollah cherche à imposer ses conditions dans le processus de formation du cabinet. « Nous rejetons ces conditions. Nous sommes attachés aux seules conditions posées par la Constitution, et n’avons que faire de celles d’un parti armé », a conclu Farès Souhaid.
Signalons que la réunion d’hier s’est déroulée en présence du député Ammar Houri, de l’ancien député Moustapha Allouche, et de MM. Nadi Ghosn, Eddie Abillamaa, Youssef Doueihy, Sassine Sassine, Naufal Daou, Hrair Hovivian, Vatcheh Nourbatlian, Walid Fakhreddine, Rached Fayed, Élias Abou Assi, Saleh Farroukh, Joseph Karam, Nagib Bou Merhi et Nasser Hammoud.
« La ville qui, à travers toutes ses composantes, constitue un modèle de convivialité islamo-chrétienne, a subi une grosse blessure. Elle a été un réservoir essentiel de la manifestation du 14 mars 2005, et il est tout naturel que sa blessure soit celle du Liban tout entier », a indiqué le coordinateur général du 14 Mars, l’ancien député Farès Souhaid, à l’issue de la réunion.
M. Souhaid a précisé que la visite du 14 Mars à Saïda sera organisée en collaboration notamment avec le courant du Futur et la Jamaa islamiya et les différents partis qui se trouvent sur le terrain. « L’objectif est de se solidariser avec les habitants de la ville et d’ajouter nos voix à celles des députés de la région qui ont présenté un mémorandum au président de la République, Michel Sleiman, ainsi qu’au commandement de l’armée, réclamant la vérité sur les événements qui se sont produits à Saïda », a-t-il indiqué.
Farès Souhaid a par ailleurs souligné l’attachement du 14 Mars à la paix civile. « S’il y a un camp, à la tête duquel se trouve le Hezbollah, qui souhaite entraîner le pays dans la guerre civile, le 14 Mars restera le rempart pour faire face à ce complot. Nous voulons assurer au Liban et aux Libanais la paix civile, la coexistence et le passage effectif à l’État réel », a-t-il noté.
Rejetant en bloc les accusations selon lesquelles le 14 Mars aurait soutenu les mouvements salafistes, M. Souhaid a estimé que « c’est le Liban tout entier qui est visé, et non la communauté sunnite exclusivement ». « Nous voulons qu’il y ait une seule armée au Liban, et non deux. Nous ne voulons pas d’armes échappant au contrôle de la légalité », a-t-il ajouté, estimant que le Hezbollah cherche à imposer ses conditions dans le processus de formation du cabinet. « Nous rejetons ces conditions. Nous sommes attachés aux seules conditions posées par la Constitution, et n’avons que faire de celles d’un parti armé », a conclu Farès Souhaid.
Signalons que la réunion d’hier s’est déroulée en présence du député Ammar Houri, de l’ancien député Moustapha Allouche, et de MM. Nadi Ghosn, Eddie Abillamaa, Youssef Doueihy, Sassine Sassine, Naufal Daou, Hrair Hovivian, Vatcheh Nourbatlian, Walid Fakhreddine, Rached Fayed, Élias Abou Assi, Saleh Farroukh, Joseph Karam, Nagib Bou Merhi et Nasser Hammoud.
Le secrétariat général du 14 Mars a planché hier au cours de sa réunion hebdomadaire sur la visite qu’il compte entreprendre dimanche à Saïda en signe de solidarité avec la ville. « La ville qui, à travers toutes ses composantes, constitue un modèle de convivialité islamo-chrétienne, a subi une grosse blessure. Elle a été un réservoir essentiel de la manifestation du 14 mars...
MONSIEUR SOUHAID VEUT UNE ARMÉE PUREMENT LIBANAISE...
16 h 26, le 05 juillet 2013