Lors d'une conférence de presse, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani a déclaré que les 11 pays présents à la réunion de Doha avaient "pris des décisions spéciales et tenues secrètes sur la manière d'agir pour changer la situation sur le terrain" en Syrie.
"La plupart des ces pays, à l'exception de deux, sont convenus de la manière de fournir une aide pratique (...) au Conseil militaire" de l'Armée syrienne libre (ASL), principale force de l'opposition, a-t-il ajouté en réponse à une question sur des divergences entre "les Amis de la Syrie" sur l'armement de la rébellion.
"Tous sont aujourd'hui convaincus de la nécessité d'une intervention rapide (...) pour aider la rébellion" après l'engagement du Hezbollah chiite iranien et de l'Iran aux côtés des troupes du régime de Damas, a ajouté cheikh Hamad, dont le pays est considéré comme l'un des principaux soutiens de la rébellion syrienne.
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