« La campagne visant le Hezbollah résulte de l’échec des choix de la partie adverse. Cette partie a tenté, à travers sa campagne, d’attiser la discorde et de diviser les forces de la moumanaa, par complaisance envers le projet occidental pour la région et pour la nation. » C’est en ces termes que le député du Hezbollah, Mohammad Raad, a répondu aux accusations adressées au Hezbollah, selon lesquelles le parti chiite entraîne le pays dans la discorde et le chaos, à travers sa participation dans la bataille syrienne de Qousseir. M. Raad, en visite chez l’ancien Premier ministre Sélim Hoss, présidait une délégation du Hezbollah, regroupant notamment l’ancien député Amine Cherri et M. Mahmoud Comaty.
« Nous ne nous sentons pas concernés par cette campagne, a poursuivi le du chef du bloc parlementaire du Hezbollah. Le camp adverse a subi un cuisant revers en misant sur le projet occidental dans la région », a-t-il affirmé.
À l’issue de la rencontre, M. Raad a assuré que « le 8 Mars et ses alliés sont attachés à la parité dans la formation du gouvernement, notamment en cette période instable ».
Concernant la loi électorale, il a souligné que « la loi de 1960 n’a toujours pas été annulée par une autre loi, mais elle exprime l’attachement à une pratique politique pacifique ». Il a toutefois souligné que le Hezbollah est opposé à la loi en question.
« Nous ne nous sentons pas concernés par cette campagne, a poursuivi le du chef du bloc parlementaire du Hezbollah. Le camp adverse a subi un cuisant revers en misant sur le projet occidental dans la région », a-t-il affirmé.
À l’issue de la rencontre, M. Raad a assuré que « le 8 Mars et ses alliés sont attachés à la parité dans la formation du gouvernement, notamment en cette période instable ».
Concernant la loi électorale, il a souligné que « la loi de 1960 n’a toujours pas été annulée par une autre loi, mais elle exprime l’attachement à une pratique politique pacifique ». Il a toutefois souligné que le Hezbollah est opposé à la loi en question.
« La campagne visant le Hezbollah résulte de l’échec des choix de la partie adverse. Cette partie a tenté, à travers sa campagne, d’attiser la discorde et de diviser les forces de la moumanaa, par complaisance envers le projet occidental pour la région et pour la nation. » C’est en ces termes que le député du Hezbollah, Mohammad Raad, a répondu aux accusations...
commentaires (4)
Il n'a RIEN d'autres comme argument : du BRUIT? pour RIEN....
Antoine-Serge KARAMAOUN
12 h 54, le 25 mai 2013