Le bilan de quatre jours de violences, notamment confessionnelles, en Irak a dépassé les 200 morts, ont annoncé vendredi des responsables.
Les affrontements et les attaques, survenus après un assaut mardi des forces de sécurité, loyales au gouvernement dirigé par le chiite Nouri al-Maliki, contre un camp monté par des protestataires sunnites à Houweijah (nord), ont également fait 300 blessés, selon eux.
M. Maliki a dit craindre une nouvelle "guerre civile confessionnelle" dans ce pays aux multiples ethnies et confessions qui a déjà payé un lourd tribut lors de tels affrontements en 2006 et 2007, après l'invasion américaine.
Depuis mardi, l'Irak est en proie à des violences entre manifestants sunnites, appuyés par des hommes armés, et forces de l'ordre loyales à M. Maliki.
Ces manifestants, mobilisés depuis décembre réclame la démission de Nouri al-Maliki accusé de marginaliser les sunnites et d'accaparer le pouvoir.
Les affrontements et les attaques, survenus après un assaut mardi des forces de sécurité, loyales au gouvernement dirigé par le chiite Nouri al-Maliki, contre un camp monté par des protestataires sunnites à Houweijah (nord), ont également fait 300...
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