"Dans une décision sans précédent car contraire à la loi internationale et à la charte de l'ONU (...), l'UE a décidé de permettre à ses Etats membres d'importer du pétrole (...) sous prétexte de soutenir l'opposition. (...) C'est une décision illégale et un acte d'agression", estime Damas dans ses lettres adressées au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, et au président du Conseil de sécurité de l'ONU.
Dernières Infos
Importer du pétrole des rebelles par l'UE est une "agression" (Damas)
AFP / le 23 avril 2013 à 17h07
La décision de l'Union européenne d'autoriser les importations de pétrole des zones contrôlées par les rebelles en Syrie est un "acte d'agression", a affirmé le ministère syrien des Affaires étrangères dans des lettres à l'ONU.
"Dans une décision sans précédent car contraire à la loi internationale et à la charte de l'ONU (...), l'UE a décidé de permettre à ses Etats membres d'importer du pétrole (...) sous prétexte de soutenir l'opposition. (...) C'est une décision illégale et un acte d'agression", estime Damas dans ses lettres adressées au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, et au président du Conseil de sécurité de l'ONU.
"Dans une décision sans précédent car contraire à la loi internationale et à la charte de l'ONU (...), l'UE a décidé de permettre à ses Etats membres d'importer du pétrole (...) sous prétexte de soutenir l'opposition. (...) C'est une décision illégale et un acte d'agression", estime Damas dans ses lettres adressées au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, et au président du Conseil de sécurité de l'ONU.
La décision de l'Union européenne d'autoriser les importations de pétrole des zones contrôlées par les rebelles en Syrie est un "acte d'agression", a affirmé le ministère syrien des Affaires étrangères dans des lettres à l'ONU."Dans une décision sans précédent car contraire à la loi internationale et à la charte de l'ONU (...), l'UE a décidé de permettre à ses Etats membres...
Les plus commentés
Le Liban n'a pas besoin d'argent, mais d'une décision politique pour renvoyer les migrants syriens, tacle Bassil
Un milliard d'euros pour aider le Liban ou pour... « acheter son silence » ?
Le médecin britanno-palestinien Ghassan Abou Sitta, venu témoigner de la situation à Gaza, refoulé en France