L'Allemagne est prête à envisager une levée de l'embargo décrété par l'Union européenne (UE) sur les armes à destination de l'opposition syrienne si d'autres pays européens en font la demande, a indiqué dimanche son ministre de Affaires étrangères Guido Westerwelle.
"Si un ou deux pays de l'Union européenne jugent qu'il n'y a pas de risques que ces armes tombent dans de mauvaises mains, (l'Allemagne) devra respecter cet avis", a déclaré à la presse M. Westerwelle au lendemain de la réunion à Istanbul du groupe des pays "Amis de la Syrie".
Le chef de la diplomatie allemande s'est dit prêt à envisager la livraison de gilets pare-balles aux rebelles qui combattent le régime du président Bachar el-Assad.
Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UE, qui doivent examiner lundi à Luxembourg une levée partielle de l'embargo pétrolier imposé à Damas, doivent en profiter pour évoquer la question des armes, a-t-il précisé.
Les Etats-Unis ont annoncé samedi à Istanbul le doublement de leur assistance directe à l'opposition et à la rébellion syriennes, y incluant la livraison d'équipements militaires défensifs qui restent à déterminer.
Evoquant la réunion de la veille, M. Westerwelle s'est réjoui de l'engagement pris par la coalition de l'opposition syrienne à respecter la démocratie, à lutter contre le terrorisme et à s'éloigner de ses factions les plus extrémistes.
"Dans ces conditions, nous sommes convaincus qu'il est pertinent de faire plus et de renforcer notre soutien à l'opposition, c'est ce que nous ferons", a-t-il estimé.
Mais il a immédiatement souligné que ce soutien aux rebelles devait obligatoirement passer par ses instances représentatives car les soutiens occidentaux de l'opposition voulaient y renforcer les "forces démocratiques" et non pas les groupes les plus extrémistes.
M. Westerwelle a ainsi annoncé que l'aide livrée par son pays à l'opposition serait augmentée de 15 millions d'euros pour atteindre un total de 145 millions d'euros. Dans ce cadre, l'Allemagne devrait ainsi créer une structure chargée de conduire à la frontière turco-syrienne des projets de santé et d'infrastructure à destination des réfugiés.
"Si un ou deux pays de l'Union européenne jugent qu'il n'y a pas de risques que ces armes tombent dans de mauvaises mains, (l'Allemagne) devra respecter cet avis", a déclaré à la presse M. Westerwelle au lendemain de la réunion à Istanbul du groupe des pays "Amis de la Syrie".
Le chef de la diplomatie allemande s'est dit prêt à envisager la livraison de gilets pare-balles aux rebelles qui combattent le régime du président Bachar el-Assad.
Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UE, qui doivent examiner lundi à Luxembourg une levée partielle de l'embargo pétrolier imposé à Damas, doivent en profiter pour évoquer la question des armes, a-t-il précisé.
Les Etats-Unis ont annoncé samedi à Istanbul le doublement de leur assistance directe à l'opposition et à la rébellion syriennes, y incluant la livraison d'équipements militaires défensifs qui restent à déterminer.
Evoquant la réunion de la veille, M. Westerwelle s'est réjoui de l'engagement pris par la coalition de l'opposition syrienne à respecter la démocratie, à lutter contre le terrorisme et à s'éloigner de ses factions les plus extrémistes.
"Dans ces conditions, nous sommes convaincus qu'il est pertinent de faire plus et de renforcer notre soutien à l'opposition, c'est ce que nous ferons", a-t-il estimé.
Mais il a immédiatement souligné que ce soutien aux rebelles devait obligatoirement passer par ses instances représentatives car les soutiens occidentaux de l'opposition voulaient y renforcer les "forces démocratiques" et non pas les groupes les plus extrémistes.
M. Westerwelle a ainsi annoncé que l'aide livrée par son pays à l'opposition serait augmentée de 15 millions d'euros pour atteindre un total de 145 millions d'euros. Dans ce cadre, l'Allemagne devrait ainsi créer une structure chargée de conduire à la frontière turco-syrienne des projets de santé et d'infrastructure à destination des réfugiés.
L'Allemagne est prête à envisager une levée de l'embargo décrété par l'Union européenne (UE) sur les armes à destination de l'opposition syrienne si d'autres pays européens en font la demande, a indiqué dimanche son ministre de Affaires étrangères Guido Westerwelle."Si un ou deux pays de l'Union européenne jugent qu'il n'y a pas de risques que ces armes tombent dans de mauvaises...
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