La journaliste ukrainienne Ankhar Kotchneva, enlevée en octobre par des rebelles en Syrie, est libre, a annoncé lundi le ministère ukrainien des Affaires étrangères, confirmant des informations relayées peu avant par ses proches.
"Elle est libre et a déjà contacté notre ambassade en Syrie", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère, Evguen Perebyinis. "Demain, elle doit se présenter à l'ambassade d'Ukraine à Damas", a-t-il ajouté sans donner d'autres détails, notamment sur les circonstances de sa libération.
Plus tôt dans la journée, des proches de la journaliste ont indiqué qu'elle avait réussi à échapper à ses ravisseurs et se trouvait dans un endroit sûr à Damas.
"Elle a réussi à s'évader ce matin et se trouve actuellement à Damas chez des personnes de confiance", a déclaré à l'AFP le neveu de la journaliste, Dmytro Astafourov contacté au téléphone. "Elle a pu nous téléphoner. Elle est saine et sauve", a-t-il ajouté.
En même temps, une nouvelle entrée est apparue sur le blog de la journaliste qui ne fonctionnait pas depuis octobre. "Votre Alice est revenue de l'autre côté du miroir. Les détails suivront plus tard", est-il écrit en russe sur ce blog, http://anhar.livejournal.com/.
Des informations sur la fuite de la journaliste ont également été annoncées par son ex-mari, Dmitri Petrov, cité par le site internet de la télévision russe Russia Today.
La journaliste, qui vivait à Moscou avant son départ pour la Syrie et son enlèvement par des rebelles se réclamant de l'Armée syrienne libre (ASL), travaillait en Syrie en tant qu'assistante et interprète, essentiellement pour des médias russes.
Depuis son arrivée en Syrie en septembre, Mme Kotchneva, qui parle couramment l'arabe, avait fait plusieurs interventions à la télévision syrienne pour défendre le régime de Bachar al-Assad et avait aussitôt reçu des menaces de la part des rebelles, a affirmé une de ses amies, citée par la presse russe.
Ses ravisseurs menaçaient de l'exécuter, réclamant une rançon importante pour sa libération, selon ses proches.
"Elle est libre et a déjà contacté notre ambassade en Syrie", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère, Evguen Perebyinis. "Demain, elle doit se présenter à l'ambassade d'Ukraine à Damas", a-t-il ajouté sans donner d'autres détails, notamment sur les circonstances de sa libération.
Plus tôt dans la journée, des proches de la journaliste ont indiqué qu'elle avait réussi à échapper à ses ravisseurs et se trouvait dans un endroit sûr à Damas.
"Elle a réussi à s'évader ce matin et se trouve actuellement à Damas chez des personnes de confiance", a déclaré à l'AFP le neveu de la journaliste, Dmytro Astafourov contacté au téléphone. "Elle a pu nous téléphoner. Elle est saine et sauve", a-t-il ajouté.
En même temps, une nouvelle entrée est apparue sur le blog de la journaliste qui ne fonctionnait pas depuis octobre. "Votre Alice est revenue de l'autre côté du miroir. Les détails suivront plus tard", est-il écrit en russe sur ce blog, http://anhar.livejournal.com/.
Des informations sur la fuite de la journaliste ont également été annoncées par son ex-mari, Dmitri Petrov, cité par le site internet de la télévision russe Russia Today.
La journaliste, qui vivait à Moscou avant son départ pour la Syrie et son enlèvement par des rebelles se réclamant de l'Armée syrienne libre (ASL), travaillait en Syrie en tant qu'assistante et interprète, essentiellement pour des médias russes.
Depuis son arrivée en Syrie en septembre, Mme Kotchneva, qui parle couramment l'arabe, avait fait plusieurs interventions à la télévision syrienne pour défendre le régime de Bachar al-Assad et avait aussitôt reçu des menaces de la part des rebelles, a affirmé une de ses amies, citée par la presse russe.
Ses ravisseurs menaçaient de l'exécuter, réclamant une rançon importante pour sa libération, selon ses proches.
La journaliste ukrainienne Ankhar Kotchneva, enlevée en octobre par des rebelles en Syrie, est libre, a annoncé lundi le ministère ukrainien des Affaires étrangères, confirmant des informations relayées peu avant par ses proches."Elle est libre et a déjà contacté notre ambassade en Syrie", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère, Evguen Perebyinis. "Demain, elle doit se...
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