"Je veux juste dire que des gens ont accusé l'ambassadrice (Susan) Rice et le gouvernement d'avoir trompé les Américains. Je peux dire que (...) rien ne peut être plus éloigné de la vérité", s'est emportée Mme Clinton en tapant du point sur la table face à des élus républicains qui avaient dénoncé le récit qu'avait fait Mme Rice quelques jours après l'attaque du 11 septembre attribuée à l'époque à des manifestants en colère et non à des terroristes islamistes.
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Clinton nie toute tentative d'étouffer l'affaire Benghazi
AFP / le 23 janvier 2013 à 17h49
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a nié mercredi avec véhémence que son gouvernement ait tenté d'étouffer l'affaire de l'attentat de Benghazi en Libye en septembre pour laquelle elle témoigne devant une commission du Sénat.
"Je veux juste dire que des gens ont accusé l'ambassadrice (Susan) Rice et le gouvernement d'avoir trompé les Américains. Je peux dire que (...) rien ne peut être plus éloigné de la vérité", s'est emportée Mme Clinton en tapant du point sur la table face à des élus républicains qui avaient dénoncé le récit qu'avait fait Mme Rice quelques jours après l'attaque du 11 septembre attribuée à l'époque à des manifestants en colère et non à des terroristes islamistes.
"Je veux juste dire que des gens ont accusé l'ambassadrice (Susan) Rice et le gouvernement d'avoir trompé les Américains. Je peux dire que (...) rien ne peut être plus éloigné de la vérité", s'est emportée Mme Clinton en tapant du point sur la table face à des élus républicains qui avaient dénoncé le récit qu'avait fait Mme Rice quelques jours après l'attaque du 11 septembre attribuée à l'époque à des manifestants en colère et non à des terroristes islamistes.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a nié mercredi avec véhémence que son gouvernement ait tenté d'étouffer l'affaire de l'attentat de Benghazi en Libye en septembre pour laquelle elle témoigne devant une commission du Sénat."Je veux juste dire que des gens ont accusé l'ambassadrice (Susan) Rice et le gouvernement d'avoir trompé les Américains. Je peux dire que (...) rien...
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