Damas accuse l’ONU de partialité et de « manque de professionnalisme »
OLJ / le 05 janvier 2013 à 23h44
Damas a jugé « partial » le rapport de l’ONU qualifiant « d’ouvertement intercommunautaire » le conflit syrien, estimant que ses experts avaient suivi « les orientations politiques » de pays « impliqués » dans la crise syrienne, a rapporté hier l’agence SANA. Accusant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU de « manque de professionnalisme », le ministère des Affaires étrangères fait en outre porter à des parties étrangères la responsabilité de la confessionnalisation du conflit, dans une lettre adressée aux Nations unies et reproduite par SANA. Regrettant que les experts aient estimé que des « communautés entières » étaient désormais menacées, Damas, qui affirme lutter contre des « groupes terroristes » armés et financés par l’étranger, a fait valoir la coexistence historique entre les nombreuses communautés dans le pays. Le ministère s’étonne encore que « la Commission ne cherche pas à enquêter sur les fatwas émises par certains radicaux de nationalités étrangères » appelant au « meurtre » de composantes de la société syrienne.
Damas a jugé « partial » le rapport de l’ONU qualifiant « d’ouvertement intercommunautaire » le conflit syrien, estimant que ses experts avaient suivi « les orientations politiques » de pays « impliqués » dans la crise syrienne, a rapporté hier l’agence SANA. Accusant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU de « manque de professionnalisme », le...
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